La CIJ estime que la présence d’Israël dans les territoires palestiniens occupés est “illégale”

La Cour internationale de justice de l’ONU a indiqué vendredi que, selon elle, la présence d’Israël dans les territoires palestiniens occupés est illégale et doit cesser.

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#World

29 comments
  1. Contrairement au Français qui désigne un habitant de la France (mais aussi une langue), un Palestinien est censé désigner un habitant de la Palestine ; mais dans l’histoire il n’existe aucune langue palestinienne contrairement au français, à l’anglais, au néerlandais, à l’hébreu, etc. Le Palestinien est arabophone et n’a aucune langue issue d’une histoire millénaire et nationale. Il faut y voir, nous dit Guy Millière dans son livre « Comment le peuple palestinien fut inventé », une falsification récente de l’histoire des années 60 et orchestrée par les médias d’ultra-gauche pour faire du buzz, et du monde arabe. Ces derniers, n’acceptant pas l’essor civilisationnel extraordinaire d’Israël, décidèrent que cet État était un État de trop ! Il fallait alors, pour cette raison, le détruire, en jetant les Juifs à la mer ! Dixit la charte du Hamas (sic).

  2. Si la communauté internationale n’était pas devenue irresponsable, aveugle et sourde, à dessein, nous dit David Horowitz, elle dénoncerait, en toute rigueur, ce révisionnisme de l’histoire, même s’il bouleverse la géopolitique de cette région. Comment alors, en toute neutralité et objectivité, dénoncer la contrefaçon ?

    Argumentaire incontestable

    Le premier est que le peuple palestinien n’existant pas avant 1960, la notion de “Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes”, régulièrement invoquée pour justifier la revendication d’un État palestinien sur la Palestine ancienne, ne s’applique pas.

    Le deuxième est que ce peuple ne peut revendiquer aucun lien historique – après 1960 – avec Jérusalem. Ainsi, toutes les résolutions de l’UNESCO attribuant un patrimoine aux Palestiniens sont les travaux de faussaires, et leurs liens avec les lieux saints de Jérusalem ou de Bethléem : sont des mensonges éhontés, inacceptables.

  3. Si la communauté internationale n’était pas devenue irresponsable, aveugle et sourde, à dessein, nous dit David Horowitz, elle dénoncerait, en toute rigueur, ce révisionnisme de l’histoire, même s’il bouleverse la géopolitique de cette région. Comment alors, en toute neutralité et objectivité, dénoncer la contrefaçon ?

    Argumentaire incontestable

    Le premier est que le peuple palestinien n’existant pas avant 1960, la notion de “Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes”, régulièrement invoquée pour justifier la revendication d’un État palestinien sur la Palestine ancienne, ne s’applique pas.

    Le deuxième est que ce peuple ne peut revendiquer aucun lien historique – après 1960 – avec Jérusalem. Ainsi, toutes les résolutions de l’UNESCO attribuant un patrimoine aux Palestiniens sont les travaux de faussaires, et leurs liens avec les lieux saints de Jérusalem ou de Bethléem : sont des mensonges éhontés, inacceptables.

  4. Le quatrième est intéressant car il jette de la lumière sur des questions restées sans réponses :
    ⦁ Q : Pourquoi, avant la déclaration l’État d’Israël de 1948, les Arabes qui vivaient sur place n’ont jamais senti le besoin de se constituer en État ?
    ⦁ R : Parce qu’ils ne voyaient pas, et n’étaient pas, un peuple.
    ⦁ Q : Pourquoi, lorsque la Jordanie a occupé la Judée Samarie pendant les 19 ans de 48 à 67, les Arabes de la région n’ont pas dénoncé l’occupation jordanienne de leurs terres ?
    ⦁ R : Parce qu’ils ne voyaient pas cela comme leurs terres.
    ⦁ Q : Pourquoi l’occupation jordanienne ne leur posait-elle pas problème, et pourquoi n’a-t-elle fait naître en eux aucune revendication ?
    ⦁ R : Parce que c’était pour eux l’occupation de la Terre des Juifs, pas la leur.

  5. Question : Peut-on légalement légitimer le mot peuple s’il n’a ni passé, ni histoire, ni terres ancestrales, ni archéologie, ni aucun droit sur ces terres ?… La réponse est NON !

    Faut-il y voir un peuple imaginaire que des instances politiques perfides ont placé là, à dessein, afin de créer une guerre fratricide sans fin, comme la guerre de Cent Ans en France contre les Anglais ? Sauf qu’il n’y a pas de Jeanne d’Arc en Israël, juste une guerre sans fin, dont le motif a été implanté fallacieusement, sur des personnes incultes, dans le plus grand mensonge de l’histoire du Moyen-Orient, véhiculant l’idée fausse que les Juifs sont des imposteurs qui occupent « leur terre », et qu’elle « n’est pas à eux » !…

  6. Il est impossible pour les Palestiniens de se constituer en peuple avant 1960, et de revendiquer une archéologie, une histoire, et des racines qui remontent 1000 ans plus tôt. Sauf à nier la réalité, et bénéficier de la complicité d’organismes internationaux comme l’ONU, l’UNESCO, l’UNWRA et l’UE.

    ⦁ Avant 1960, l’origine des Arabes de la région venait d’ailleurs. Arafat est un Égyptien né au Caire !…

    ⦁ Les « frontières de 67 » mises en avant ne peuvent pas exister puisqu’il n’y a pas d’État de l’autre côté de cette              « frontière ». Pas d’État, pas de frontière, pas d’occupant israélien d’un autre État. Trouvez l’erreur !…
    Comme toute la mécanique de cette machination a échoué, contrairement à ce que disait le nazi Goebbels sur le mensonge, il ne restait plus que le terrorisme et la guerre pour avoir raison par la force de détruire aveuglément l’autre. Israël et sa population, agressés sauvagement par le terrorisme, ont toujours été en position de défense, conformément au droit international des agressés lorsqu’il est reconnu.

  7. La création de l’État d’Israël par un vote majoritaire à l’ONU en mai 48 n’a été accepté par aucun pays arabe voisin. Chaque groupe ou peuple au sein d’une nation a le droit d’exister. Ce droit d’exister est aussi un droit de vivre, à la condition qu’il ne soit pas en guerre fratricide, avec un autre groupe ou peuple, dans une volonté génocidaire. Détruire l’autre, pour sa différence, pourquoi ?

    Une brochure, écrite en 1924 par le Conseil suprême musulman, atteste de l’histoire du peuple juif

    Une brochure publiée en 1924, par le Conseil suprême musulman, le WAQF en charge du Mont du Temple à Jérusalem, explique aux visiteurs que ce site est en lien avec le temple du roi Salomon et que l’identité de ce site et indiscutable. Il est écrit qu’en ce lieu le roi David avait érigé un autel dédié au dieu des Hébreux. Preuve indéniable que le peuple juif est sur sa terre avec son histoire. Cette brochure ne serait pas publiée ni distribuée de nos jours pour des raisons idéologiques et politiques évidentes qui nient la légitimité d’Israël sur sa terre ancestrale.

  8. Citez moi un seul prix Nobel de physique ou d'économie palestien…zero
    Un célèbre😮 chimiste ou botaniste ou inventeur …double zero.
    Si ! ils ont inventé les toul à la Turc jadis…mais les Turcs l'ont amelioré en y plaçant un trou… 🕳️

  9. Je possède six exemplaires du dictionnaire Larousse . Le plus ancien date de 1890 Le plus récent est de 1970 . Voici la définition du mot Palestine : sur celui de 1890,
    contrée de la Syrie, entre la Phénicie au N, la mer Morte au S, la Méditerranée à l’O et le désert de Syrie à l’E , arrosée par le Jourdain. Elle est appelée aussi Terre de Chanaan, Terre promise et Judée .
    En 1970, “contrée du Proche-Orient, entre le Liban au nord, la mer Morte au sud, la
    Méditerranée à l’ouest et le désert de Syrie à l’est . C’est une bande de terre étroite, resserrée entre la mer et le Liban et parcourue par le Jourdain .
    À aucun moment, il n’est fait allusion à un peuple palestinien .

  10. ⦁ Il est impossible pour les Palestiniens de se constituer en peuple avant 1960, et de revendiquer une archéologie, une histoire, et des racines qui remontent 1000 ans plus tôt. Sauf à nier la réalité, et bénéficier de la complicité d’organismes internationaux comme l’ONU, l’UNESCO, l’UNWRA et l’UE.

    ⦁ Avant 1960, l’origine des Arabes de la région venait d’ailleurs. Arafat est un Égyptien né au Caire !…

    ⦁ Les « frontières de 67 » mises en avant ne peuvent pas exister puisqu’il n’y a pas d’État de l’autre côté de cette              « frontière ». Pas d’État, pas de frontière, pas d’occupant israélien d’un autre État. Trouvez l’erreur !…

  11. Des Juifs d’Europe et d’Amérique sont revenus vers la terre appelée dans le judaïsme, Eretz Israël, celle des royaumes d’Israël et de Juda, celle du royaume de Judée, celle du peuple juif pendant des siècles.

    Ils ont acheté des terres aux propriétaires ottomans et les ont mises en culture.

    Les fermes juives, les kibboutzim, les moshavim, ont attiré des Arabes de la région, et l’essentiel des Arabes vivant sur la terre d’Israël, qui inclut la bande de Gaza et la Judée Samarie, sont des immigrants arabes venus des territoires constituant aujourd’hui la Syrie, le Liban, l’Irak, l’Arabie et l’Egypte entre 1890 et 1948.

    Et oui : quasiment tous les Arabes vivant sur la terre d’Israël sont des immigrants venus parce que des Juifs transformaient les terres arides en champs fertiles.

  12. Ceux qu’on appelle « réfugiés » sont des Arabes qui vivaient sur la terre d’Israël en 1948, et qui sont, pour l’essentiel, partis sur demande des dirigeants arabes, qui leur avaient dit de s’installer temporairement hors de la terre d’Israël en attendant que les armées arabes exterminent les Juifs israéliens et les jettent à la mer. Les Juifs ayant gagné, les Arabes qui étaient partis ne sont jamais revenus. Il reste, au Liban, en Jordanie, six ou sept mille Arabes qui ont eu le statut de « réfugié » en 1949 : pour être réfugié, ils devaient prouver deux années de résidence sur la terre d’Israël, pas davantage ! Il est important de le rappeler.

  13. La quasi-totalité de ceux qu’on appelle « réfugiés » aujourd’hui ne sont pas du tout des réfugiés : ils n’ont jamais mis le pied en Israël. Jamais ! Les pays arabes d’où ils venaient ont refusé de les réintégrer et les ont maintenus dans des « camps de réfugiés » pour exercer une pression sur Israël. Ils sont sur terre les seuls « réfugiés » à pouvoir être « réfugiés » de génération en génération, sans n’avoir jamais mis le pied dans le pays qu’ils sont censés avoir quitté. Il y a aux Nations Unies une institution qui s’occupe de tous les réfugiés du monde et qui ne considère pas comme réfugiés les gens qui n’ont jamais mis le pied dans le pays dont ils sont censés être partis, et une institution (l’UNWRA) qui s’occupe des réfugiés arabes venus de la terre d’Israël, et qui considère comme réfugiés des gens qui ne sont pas du tout réfugiés, ce qui est un véritable scandale. Les Arabes qui sont restés en Israël sont devenus Arabes israéliens : ils constituent 20 pour cent de la population israélienne et sont les seuls Arabes du Proche-Orient vivant dans un pays démocratique, et jouissant de l’égalité de droit avec les Juifs israéliens. Israël est le seul pays au Proche-Orient où existe une liberté de culte pour Juifs, Chrétiens et Musulmans, sans la moindre discrimination.

  14. Un armistice a été mis en place en 1949, car les pays arabes ont refusé toute paix avec Israël. En 1967, une deuxième guerre arabe pour la destruction d’Israël a eu lieu, puis une autre encore en 1973. Les pays arabes ont perdu, en 1967 et 1973. En 1967, la Ligue arabe a énoncé trois non : non à la reconnaissance d’Israël, non à la paix avec Israël, non à toute négociation avec Israël.

    Les trois guerres arabes contre Israël n’étaient pas des guerres pour la « libération de la Palestine », mais des guerres pour l’anéantissement d’Israël et l’extermination des Juifs israéliens.

    La bande de Gaza a été égyptienne de 1949 à 1967, par annexion militaire forcée, et la « rive occidentale » (Judée-Samarie) jordanienne au cours de la même période, par annexion militaire forcée. Le nom « Cisjordanie » ne s’est appliqué à la Judée-Samarie que de 1949 à 1967, quand la Jordanie occupait la Judée-Samarie : et qu’on l’utilise encore est un scandale, là aussi !

  15. Il est impossible d’en trouver la moindre mention où que ce soit auparavant. Les Arabes vivant dans la bande de Gaza et en Judée Samarie en 1967 n’étaient pas « palestiniens », mais Egyptiens, Jordaniens et « réfugiés ». Point final. Il leur a été inculqué qu’ils étaient « palestiniens » et devaient détruire Israël et exterminer les Juifs. C’est l’unique cas dans l’histoire où un peuple a été inventé pour être une arme d’extermination d’un autre peuple, et ce fut une invention monstrueuse.

  16. Le cas des réfugiés palestiniens est le seul au monde où les pères peuvent donner ce statut à leurs enfants, sur un mode héréditaire et patriarcal. Si l’agence appliquait les règles de l’UNHCR, comme partout ailleurs dans le monde, seulement 20 000 personnes seraient considérées comme réfugiés palestiniens, et non 5,9 millions comme aujourd’hui. Un tiers de ces bénéficiaires vivent dans des camps de réfugiés, qui continuent bizarrement d’exister en territoire palestinien… sous autorité palestinienne, comme à Gaza ou en Cisjordanie. En Jordanie, plusieurs de ces « réfugiés » possèdent aussi la nationalité jordanienne, ce qui leur permet de voter et de toucher les aides financières associées à ce statut. Et en Occident on se retrouve avec des des personnes comme Rima Hassan ou Mohamed Hadid, le père milliardaire des supermodels Bella ou Gigi Hadid qui sont considérés comme réfugiés.

  17. Les enfants des Juifs expulsés ou contraints de partir des pays arabes après 1948 ne sont pas des « réfugiés libyens, tunisiens ou algériens ». Ils sont citoyens d’Israël ou de la France ou d’autres pays qui les ont accueillis. La convention de l’ONU de 1951-1967 relative au statut des réfugiés ne mentionne pas les descendants des réfugiés et cesse de s’appliquer au cas où le refugié obtient la nationalité du pays d’accueil.

  18. Mais l’ONU a tout simplement ignoré l’avis des experts. Adoptant la position arabe, elle a construit un monstre bureaucratique sans précédent en matière de questions humanitaires. L’UNRWA est immédiatement devenue un appareil massif (dix-sept mille employés), avec un budget énorme, dont le but principal était en réalité de perpétuer et d’intensifier le problème des réfugiés palestiniens, en faisant en sorte que les réfugiés demeurent dans les camps. Plus tard, il s’est avéré que les Nations unies étaient indirectement responsables du problème du terrorisme palestinien, quand les camps de réfugiés sont devenus des foyers et même des bases d’entraînement pour les unités terroristes de l’OLP. Au cours des années 1980, il est apparu que l’UNRWA avait besoin des réfugiés palestiniens plus que les Palestiniens n’avaient besoin de l’UNRWA. Ce n’est que lorsque l’armée israélienne est entrée au Liban, en juin 1982, qu’il a été prouvé que les organisations terroristes s’étaient emparées des camps de l’UNRWA au Sud Liban. Ces faits étaient déjà connus des services de renseignement, et des rumeurs avaient même filtré dans la presse ; mais ces rumeurs ont pris une autre dimension quand on a découvert, dans un camp après l’autre, une gigantesque structure terroriste organisée, et cela sous les auspices des Nations unies.

  19. L’ONU, par l’intermédiaire de l’UNRWA, connaît tout de Gaza, y compris l’infrastructure terroriste du Hamas, son réseau de tunnels et l’utilisation qu’il fait des hôpitaux et des ambulances. Pourtant, tout au long de cette guerre, l’ONU a mimé son « horreur et le choc » qu’il éprouvait face aux mesures nécessaires prises par Israël contre les terroristes du Hamas intégrés à la société civile de Gaza. Comme l’a souligné le directeur général d’UN Watch, Hillel Neuer :

    « L’ONU a 13 000 employés dans la petite bande de Gaza. Ils savent tout ce qui s’y passe… Tous savaient que l’infrastructure terroriste du Hamas se trouvait dans l’enceinte de l’hôpital, là où Israël n’attaquerait pas. Ils ont menti au monde pendant 16 ans. Dans le seul but de diaboliser Israël. »

  20. Car l’ONU et l’islam c’est une histoire d’amour profonde, ça vire même à la passion débordante. Au point que toutes les réalités islamiques, vérifiables chaque jour dans le monde, sont démenties par cette organisation occulte créée en 1945 et dont l’une des premières missions était alors la sécurité internationale. Or, qui met majoritairement cette sécurité en danger : les adeptes du culte de Mithra ou les fidèles d’Allah ?!

  21. la Turquie n'est pas une démocratie -Israel a l' armée la plus morale du monde… vu la mortalité de civils que serait ce si elle n'était pas morale ? si elle n'était pas 1 démocratie .. ni l'amie d'une nation très protectrice et généreuse en armement mais pas particulièrement respectueuse du droit international non plus ?

  22. 🍉🍉🍉Free Palestine 🍉🍉🍉
    Enfin condamnation de l'occupation et la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens un peu de justice dans ce monde de brutes….

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