Une réponse à côté de la plaque, sans éloge ni compliment pour son joueur. Rien d’étonnant si on se réfère à ce qu’il disait, déjà, le mois dernier, au cœur du début de saison canon du n° 29 parisien (4 buts sur les 3 premiers matchs). « Bradley ? On le protégerait s’il n’y avait pas de journalistes. Parce que maintenant tout le monde parle de lui. Mais rappelez-vous après Newcastle, on disait qu’il n’était pas prêt pour l’Europe, qu’il manquait d’expérience », avait-il regretté lors du point presse précédant la réception de Brest (3-1), le 14 septembre.