Pour l’ancien international israélien du Standard, concilier foot et conflit armé est compliqué. Même s’il estime que les joueurs sont et restent des professionnels.
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Par Daniel Renard
Publié le 16/11/2024 à 09:00
Temps de lecture: 2 min
Il y a l’aspect sportif. L’occasion de tester des joueurs. De peaufiner des formules. Finalement de préparer des rendez-vous autrement plus importants. Mais dans le cas d’Israël-Belgique, ce dimanche, il y a forcément autre chose. Une dimension supplémentaire, née du conflit qui embrase le Moyen-Orient.
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