La deuxième phase s’attaque de manière ciblée aux lacunes existantes. Parmi les mesures décidées figurent l’identification et la valorisation des surfaces particulièrement importantes pour les insectes, l’adaptation d’espèces animales et végétales et de leur habitat aux changements climatiques, ainsi que le soutien des cantons et des communes à la promotion de la biodiversité en zone urbanisée.