On pourrait croire que l’Union européenne se cantonne à être une grande machine technocratique, éloignée des préoccupations du quotidien. On pourrait entendre les seuls ressentiments accusant cette institution de tous les maux, que l’on évoque les migrations, l’agriculture ou la pêche.

On peut aussi enlever les œillères. Élargir le champ. À Auray, on peut dire que le lycée Benjamin-Franklin fait tout pour donner une vision globale de l’Union européenne à ses élèves.

Bénéficiant de l’accréditation Erasmus + depuis 2022, l’établissement public s’investit dans un nouveau projet, qui entre dans le cadre de l’action Jean Monnet intitulée « Initiatives pour apprendre l’UE ». « L’an passé, nous nous sommes rendu…