À un an et demi du premier vol d’essai de son petit lanceur réutilisable, la société spatiale privée européenne a fait un point d’étape. Son patron, Yohann Leroy, en a profité pour préciser le chemin à parcourir à court et à moyen terme pour atteindre un objectif stratégique pour le Vieux Continent.
« Maia Space expérimente une nouvelle manière de faire. » Par ces mots, Yohann Leroy, le patron de cette société privée basée en France et financée par Airbus et Safran, définit le cap suivi par ses ingénieurs. Si Maia Space a été créée pour mettre au point un petit lanceur dont le premier étage sera réutilisable, ce n’est pas son seul but. Dès sa fondation, en 2019, l’entreprise a eu pour ambition de créer une nouvelle méthode de travail, différente de celle d’ArianeGroup, « la maison mère », selon l’expression employée par Yohann Leroy, qui reste contrainte par les règles de l’Agence spatiale européenne.
Maia Space met au point une fusée dont le premier étage sera réutilisable. Vue d’artiste : © Maia Space En d’autres termes,
« Maia Space expérimente une nouvelle manière de faire. » Par ces mots, Yohann Leroy, le patron de cette société privée basée en France et financée par Airbus et Safran, définit le cap suivi par ses ingénieurs. Si Maia Space a été créée pour mettre au point un petit lanceur dont le premier étage sera réutilisable, ce n’est pas son seul but. Dès sa fondation, en 2019, l’entreprise a eu pour ambition de créer une nouvelle méthode de travail, différente de celle d’ArianeGroup, « la maison mère », selon l’expression employée par Yohann Leroy, qui reste contrainte par les règles de l’Agence spatiale européenne.
Maia Space met au point une fusée dont le premier étage sera réutilisable. Vue d’artiste : © Maia Space En d’autres termes,…
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Philippe Henarejos, Publié le 2 janvier 2025, Modifié le 2 janvier 2025