Fatah Boudjelida, le patron philanthrope d’Atoz, a notamment joué un rôle clé dans le succès de la Luxembourg Art Week qui vient de fêter ses dix ans.

Il n’y a pas que la finance qui compte au Luxembourg, malgré son poids de 40% dans l’économie du pays. Alors que l’État à la santé florissante enregistre un nombre record d’entrepreneurs français souhaitant s’y établir, le gouvernement affiche sa volonté de diversifier ses atouts notamment dans le domaine de la culture. L’installation de nouvelles galeries et le succès de la récente 10ème édition de la Luxembourg Art Week illustre cette effervescence qui anime le grand-duché. 

Avec 18.000 visiteurs et des œuvres de grande qualité présentées par des exposants de 17 pays , la foire a réaffirmé son rôle de plateforme incontournable sur la scène européenne et de soutien à la création. Dans ce but, six vitrines vacantes du centre-ville ont été transformées en espaces éphémères pour mettre en avant les œuvres de jeunes artistes. Initiative illustrant aussi la volonté de démocratiser l’art contemporain et d’enrichir l’offre culturelle locale. Tout comme l’Art Walk, parcours…

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Le Figaro

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