Poutine et son homologue iranien signent un “accord de partenariat stratégique global”

L’allié du Kremlin estime que la direction de l’Union européenne, a, depuis bien longtemps “perdu le droit de parler au nom de certains de ses membres – la Hongrie, la Slovaquie, l’Autriche, la Roumanie et d’autres pays résolus à œuvrer pour la stabilité de l’Europe et à occuper une position équilibrée vis-à-vis de la Russie”.

La fin de l’Ukraine ?

Sur la question ukrainienne, l’homme de main de Poutine n’y va pas avec le dos de la cuillère. “Il n’est pas exclu qu’au cours de l’année à venir, l’Ukraine cesse purement et simplement d’exister”, a-t-il confié avant de poursuivre, “le peuple ukrainien reste à nos yeux un peuple proche, un peuple frère, lié à la Russie par des relations pluriséculaires”.

De plus, pour Patrouchev, la position russe sur le conflit reste non négociable pour les discussions à venir entre Washington et Moscou. “Il est crucial que la communauté internationale reconnaisse pleinement l’incorporation des républiques populaires de Donetsk et de Louhansk, ainsi que des régions de Zaporijia et de Kherson. Ces territoires font désormais partie intégrante de notre pays”.