Qu’est-ce qui vous a donné envie de participer à Pékin Express ?

Matteo : “Ça fait longtemps qu’on a envie de participer. Ce qui nous motive, c’est le côté compétitif et mental.”

Esmeralda : “On a passé trois fois le casting parce qu’on avait vraiment envie d’y participer. On n’a pas été recalés la dernière fois mais sélectionnés comme binôme remplaçant. C’était un peu frustrant. Quand on a su qu’on allait vraiment y participer cette fois-ci, on était heureux. Ce qui m’intéressait, comme Matteo, c’était de me surpasser mais aussi de permettre aux gens d’aller au-delà des apparences parce que quand on me voit, de prime abord, je n’ai pas vraiment l’allure d’une aventurière.”

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Pourquoi avez-vous choisi d’y aller entre cousins ?

M. : “Esmeralda et moi, on ne se voyait pas faire ça avec quelqu’un d’autre. On est très fusionnel mais on a, tous les deux, de forts caractères donc, ça peut parfois créer des tensions. Mais, en même temps, c’est ce qui permet de nous tirer l’un l’autre.”

Comment vous êtes-vous préparé à cette expérience ?

M. : “Je pense qu’on ne peut pas vraiment se préparer à une aventure comme ça. J’ai tout simplement essayé de faire un peu plus de sport mais c’est tout.”

E. : “De mon côté, je déteste le sport ! Mais, avec le recul, je me suis rendu compte que c’était indispensable pour faire cette émission. Quand t’as pas de cardio, c’est un peu chaud ! Je comptais un peu sur Matteo ! Lui, c’est plutôt le physique et moi le mental !”

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Quels sont vos atouts pour avancer dans l’aventure, selon vous ? Et, à l’inverse, quels sont vos points faibles ?

M. : “Je pense que je dois miser un maximum sur mon côté sportif et sur mon mental. Je suis quelqu’un de très introverti, j’ai donc un peu de mal à aller vers les gens. Ça peut être un frein. J’ai aussi beaucoup de mal en anglais.”

E. : “À l’inverse de Matteo, j’adore parler ! Ça ne me dérange pas du tout d’arrêter une voiture ou d’aborder une personne que je ne connais pas. Moi, je parle et lui, il agit.”

Comment êtes-vous sortis de cette aventure ?

M. : “Ça nous a ouvert les yeux sur plein de choses. On s’est retrouvé avec des gens qui n’ont pas d’électricité, qui ne mangent pas ce qu’ils veulent ou qui doivent faire 100 mètres pour aller faire pipi. Ça met une claque.”

E. : “Quand on rentre chez nous et qu’on s’endort paisiblement dans son lit, on se dit que ces personnes, elles, vivent toujours dans la même situation. On se rend compte de la chance qu’on a.”