Treize est le nombre de matchs sans défaite en championnat de l’Union. Mais treize est aussi la différence de points pris par l’équipe de Sébastien Pocognoli entre les résultats face aux mêmes adversaires du premier tour et ceux du second tour de la phase classique. Grâce à des meilleurs résultats au retour par rapport à l’aller contre Westerlo, Saint-Trond, l’Antwerp, Gand, le Cercle et OHL.

Dimanche, les Bruxellois pourront ajouter deux unités supplémentaires à ce total en cas de victoire contre Malines, un adversaire qui les avait tenus en échec au bout des arrêts de jeu et d’une interruption de match après des gobelets lancés sur Anthony Moris. “On se rappelle comment cela s’est passé au match aller, explique l’entraîneur, Sébastien Pocognoli. Certains joueurs ont d’ailleurs encore ce match dans la tête. Il n’y a pas une revanche à prendre mais plutôt un challenge à relever par rapport à ces matchs joués au premier tour. Nous devons encore affronter Anderlecht, Dender ou le Standard contre qui nous n’avions pas pris trois points : il y a donc encore moyen d’engranger pas mal de points dans cette balance entre le premier et le second tour. C’est notre grande motivation actuelle.”

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