“Elle m’a dit que j’étais un facho” : quand la politique brise les couples de la génération Z

by OrdinaryMidnight5

16 comments
  1. Ptdrrrr les pseudo militants qui quittent leur moitié avec qui vous avez tout en commun sauf le bulletin dans l’urne vous faites vachement pitié 🤣🤣

  2. La politique en elle-même brise pas des couples. Personne n’a jamais dit “T’as dit que Mélenchon était stupide je me barre”

    Par contre soutenir des mouvements qui souhaitent ramener les femmes à des sous-citoyens ou faire la chasse aux LGBT, effectivement ça peut amener à des ruptures. C’est plus que de la politique, c’est des visions du monde qui s’opposent.

    Ils auront beau jeu de se victimiser. “ouin ouin je comprends pas pourquoi les femmes veulent pas d’un gars comme moi qui veut les ramener 70 ans en arrière, après tout c’est pas parce que je veux avoir le droit au devoir/viol conjugal qu’on peut pas s’entendre et vivre ensemble” 🤡

  3. “De la génération Z”

    Genre ça le faisait pas avant ?

    Si tu remonte un peu dans pas mal de famille, c’est des assassinats politiques que tu vas trouver, les ruptures c’est assez soft en comparaison.

  4. Imagine se taper la guerre politique et culturel d’internet, mais dans sa vie de couple.

  5. Les gens ultra politisés sont clairement un énorme redflag pour avoir une relation saine.
    Le nombre de mec qui font les gauchistes de façade devant leur compagne pour être tranquilles et qui mettent un bulletin bardella dans l’urne ah ah.

  6. En même temps, si tu votes pour des groupes de haine, tu mérites tellement de te faire plaquer.

    Les branleurs d’extrême-droite, c’est redflag et ça dégage direct, pas de temps à perdre.

  7. “Je peux pas manger au resto avec toi ce soir chérie, ratonnade de prévue à 19H30, mais promis demain je suis dispo !”

  8. Faire passer ses opinions avant l’humain je trouve ça consternant….

    Je viens d’une famille où mes parents avaient des idées politiques très différentes, ça n’a pas toujours été simple mais il n’a jamais été question de séparation.

    Ils ont eu des parcours de vie très différents qui les ont emmenés là où ils sont.

    Concernant les extrêmes plus particulièrement, je connais plusieurs personnes qui sont passés de l’un a l’autre dans leur vie pour x raison. Ça n’est donc pas une donnée fixe …

  9. Moi aussi je suis “Facho” selon les critères actuels.

    Visiblement c’est être facho de vouloir plus de sécurité pour que ma femme et mes filles puissent sortir quand elles veulent et comme elles veulent sans se faire harceler insulter ou menacer par des cinglés.

    Mais pas de problème car ma femme est aussi “facho”.

  10. Si ma femme me sort que violer des femmes, c est de la résistance, je la quitte. Quand bien même elle me traite de facho pour me faire culpabiliser.

    Y a des lignes rouges.

  11. Quand les ecolos sont plus intolérants que les fachos, difficile de se faire une opinion.

  12. Toutes mes ex étaient d’extrême gauche (et j’en ai eu quelques unes, assez pour faire une tendance), alors que je suis moi-même plutôt droite classique RPR/UMP/LR, tantôt un peu plus ou un peu moins selon les sujets. J’en ai donc fait l’expérience, et plusieurs fois:

    Quand elles apprenaient que je n’étais pas d’extrême gauche, c’est comme si je les avaient trompées. Au secours…
    Pourtant, derrière les portes fermées de la chambre, le droitardé que je suis ne déplaisait pas (au contraire!), et certaines en redemandaient spontanément. Jusqu’à ce qu’elles partent parce que, une fois qu’elle l’apprenaient c’est les “je ne me projette pas avec quelqu’un de droite”, ou les “je ne pourrais jamais être/coucher avec un mec de droite”.
    Mais meuf… on a déjà couché X fois ensemble, ça t’a bien plus, et ça fait 6 mois qu’on est en couple et que ça se passe bien!

    J’ai toujours été prêt à accepter cette différence de conviction dans mon couple, a faire ces petites concession pour que mon couple marche. J’ai cette chance là d’arriver a me foutre de ce que tu met dans l’urne, on est un pays libre. J’accepte d’être pas d’accord et de faire avec. Mais je n’ai jamais vu l’inverse dans le bord politique d’en face. Jamais de chez jamais. La vraie tolérance n’est pas toujours chez ceux qui s’en réclament, et ça me désole. Jamais je ne me suis senti aussi jugé au quotidien et menacé qu’avec ces ex politisées a gauche.

    Du coup, ce qui n’était pas un critère hier (les convictions politiques) l’est devenu aujourd’hui, a cause de ces gens sectaires, et j’y réfléchis a deux fois avant de date quelqu’un de gauche, parce que d’expérience… bah ils sont souvent prise de tête.

  13. “Sur les grands sujets d’actualité, il expose également des positions très claires : en plein procès Pélicot, il évoque par exemple un “fait divers surtraité”, qui ne veut “rien dire sur le patriarcat”

    Ouais jsuis pas sûr que j’aurais envie de discuter plus longtemps avec ce genre d’individus non plus hein, couple ou pas.

  14. Bah, en tant que personne queer jamais je vais relationner avec quelqu’un de droite.
    Je me sentirais juste pas en sécurité.

  15. Cela n’a pas changé et sur tous les sujets de fond. Juste qu’avant, cela changait rien pour les gens une fois la discussion terminé. Or maintenant, tu veux ne plus être associé à une personne qui ne pense pas comme toi, tu es prèt a renier un frere, une soeur pour ça.
    La raison est peut etre dû à internet, les réseaux etc qui te permet de connaitre beaicoup de monde, donc d’avoir le luxe de choisir ceux avec qui tu penses avoir des idées communes.

Comments are closed.