Selon Le Parisien, il avait rédigé un serment d’allégeance au groupe Etat islamique (EI) et aurait envisagé de s’en prendre à un lieu public.
Des menaces d’attentats à Bruxelles et Anvers : ce que l’on sait
Son interpellation a mené à l’arrestation de deux personnes de son entourage.
L’un d’eux, âgé de 21 ans, est soupçonné de lui avoir fourni une arme factice qu’il exhibait sur les réseaux sociaux, selon des informations de presse.
“Mon client n’est pas radicalisé et n’épouse aucune thèse jihadiste”, a déclaré à RTL son avocat Réda Ghilaci, estimant que “l’infraction d’association de malfaiteurs terroriste manque de rigueur juridique”.
Mi-mars, un adolescent de 17 ans, interpellé en Haute-Saône, a été mis en examen et placé en détention provisoire. Il est soupçonné d’avoir projeté une action violente “pendant le ramadan”.
Me Ghilaci, qui est aussi son avocat, avait affirmé qu’il voulait “mettre fin à ses jours pour stopper un mal-être profond” et non “commettre une action terroriste”.
Le 26 février, un homme algérien – qui présentait un profil “schizophrène”, selon le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau – a lui aussi été mis en en examen pour assassinat terroriste et placé en détention provisoire, après avoir tué un passant à Mulhouse (Haut-Rhin) et blessé six autres personnes.