Guerre en Ukraine : Poutine est-il le seul obstacle à la paix ? • FRANCE 24

La paix en Ukraine au menu de la rencontre entre le chef de la diplomatie française et son homologue américain. Au lendemain de la signature de l’accord sur les minerais ukrainiens, Jean-Noel Barreau veut profiter de ce climat d’entente entre Kief et Washington et accentue la pression sur la Russie. Je crois que désormais c’est c’est clair comme de l’eau de roche. Le seul obstacle à la paix en Ukraine aujourd’hui, c’est Vladimir Poutine. L’Ukraine a tenu sa part du marché. La Russie de Vladimir Poutine n’a fait aucun effort, n’a envoyé aucun signe qu’elle est prête au cesser le feu et à la paix à laquelle aspire le président Trump et àquelle aspire les Européens et bien évidemment les Ukrainiens. Le Kremelin affirme vouloir une fin rapide du conflit qu’il a déclenché mais a refusé en mars la proposition de cesser le feu de 30 jours accepté par l’Ukraine. Sur le terrain, l’armée russe poursuit son offensive. Une nouvelle attaque de plus de 150 drones russes a touché les régions de Carkif et soumis dans la nuit de mercredi à jeudi. De son côté, l’Ukraine exige une trêve durable, des garanties de sécurité solides et veut récupérer l’ensemble de ces territoires occupés par la Russie. Les États-Unis qui mènent depuis des semaines des négociations séparées avec Kief et Moscou sans succès montre des signes de lassitude. Nous ne serons pas les médiateurs. C’est maintenant entre les mains des deux parties. C’est maintenant qu’elles doivent présenter et développer des idées concrètes sur la manière dont ce conflit va prendre fin. C’est à eux de le faire. Durant sa visite à Washington, Jean-Noël Barot a aussi annoncé la préparation d’un 17e train de sanctions européennes contre Moscou. De son côté, le président Trump n’a pas écarté la possibilité de nouvelles sanctions américaines contre la Russie si elle n’accepte pas de conclure un accord de paix avec Kie. Things are heating up.

Après la signature d’un accord sur les minerais entre Washington et Kiev, l’Ukraine et ses alliés attendent désormais des progrès dans les négociations de paix, qui stagnent depuis plusieurs semaines. Pour Jean-Noël Barrot, le ministre français des Affaires étrangères, le principal obstacle à la paix aujourd’hui reste Vladimir Poutine.
#ukraine #poutine #russie

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26 comments
  1. Les européens comme les américains sont aux abois, ils n'ont plus aucune carte en main et ils continuent à tergiverser comme si ils étaient les vainqueurs sur la Russie.
    Sanction, sanctions et sanctions, le suicide collectif continue sous les ordres de la oberführerin Ursula.

  2. Vive russe 🤪 bravo waouh super 🇷🇺🇷🇺🇷🇺🇷🇺🇷🇺🇷🇺🇷🇺🇷🇺🇷🇺🇷🇺🇷🇺🇷🇺❤❤❤❤❤❤❤🎉🎉🎉🎉🎉

  3. Comment veux tu les Russes faite confiance à les Américains qui donne des armes a l'Ukraine pour détruire les enfants Russes

  4. Vous voulez un cessez le feu total pour que l'ukraine puisse soupirer un peu, et se réorganiser mais les Russes ne sont pas dupes… si vous voulez, traitez les Russes de belliqueux, ils ne stopperont pas leurs offensives

  5. la décarbonation est un suicide économique français au profit des États Unis : ArcelorMittal investit aux États-Unis !
    Que les américains restent chez eux et le monde ira mieux ! #usgohome
    le nucléaire civil sert de " couverture" au nucléaire militaire ! les américains tentent de rattraper 50 ans de mensonges sur la rentabilité énergétique de l'électricité nucléaire qui est un gouffre énergétique et financier : l'énergie ne se fabrique pas : E=mC2 c'est l'énergie instantanée dégagée dans une explosion nucléaire PAS dans un réacteur : AUCUNE machine ne peut produire plus d'énergie qu'elle n'en consomme, l'énergie ne se fabrique pas, un rendement énergétique supérieur à 1 n'existe PAS !!!
    L'EPR est un prototype qui n'a jamais fonctionné correctement à l'étranger et qui ne sera jamais généralisé en France parce que beaucoup trop cher : c'est le prix du kwh le plus cher du monde ! Suite à l'accident de Fukushima, Anne Lauvergeon a vendu un réacteur sécurisé avant même d'en avoir les plans … le résultat c'est des Milliards de dettes pour la France et une fuite en avant du gouvernement . 12 ans de retard et 30 Milliards d'euros en plus ( 10 fois plus que le devis initial …) Les français pourront se vanter d'avoir l'électricité la plus cher du monde ! la mise en route doit se faire progressivement parce que le cœur du réacteur à toujours les défauts d' origine : des vibrations qui provoquent des fissures et des fuites de tritium comme pour l'EPR de Taïshan en Chine (problème connu mais toujours pas résolu) sans parler du couvercle à changer en 2026 ! cette mise en route est un "essai" pour faire croire que le programme continue et politiquement gagner du temps pendant que les français perdent beaucoup d'argent ! . le prix du Kwh d’électricité nucléaire est toujours négocié par l'état parce qu'il ne correspond pas du tout au cout exorbitant de production qui sont payés avec nos impôts (3000 Milliards de dettes …) c'est une fuite en avant qui va nous ruiner encore plus et pour l'instant il n'y a pas eu d'accident en France …

  6. Et vous dites ça à qui? Nous sommes tous dans un virage et nous comprenons tout. C'est à l'occident d'accepter la paix de Poutine en discuter avec lui et en le comprenant aussi

  7. Avec le président Biden, l’objectif est limpide : infliger une défaite militaire à la Russie, ruiner son économie, isoler le pays à l’échelle mondiale et rétablir les frontières de l’Ukraine telles qu’en 1991, bref, une reddition déguisée, emballée dans du droit international. Et puis, avec Trump, changement de décor : soudain, on exige une paix inconditionnelle, parce que le président américain l’a promise à son électorat comme on promet de repeindre une salle de bain en un week-end. Mais après deux ans de guerre, de sanctions, de déclarations grandiloquentes sur la “défaite stratégique” de la Russie, quel intérêt Moscou aurait-elle à se rendre sans conditions ? Pour faire plaisir à Washington ? Pour remercier les Européens de leur mépris condescendant ? Il faudrait peut-être rappeler que dans une négociation, il faut deux parties… et un minimum de crédibilité. Mais visiblement, dans les capitales occidentales, on pense qu’humilier l’adversaire suffit à le convaincre de signer la paix.

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