Vous avez mené récemment une grande enquête sur les pratiques de voisinage. Où en est-on aujourd’hui en France ?

C’est un fait social qui a été peu étudié de manière quantitative. Quand on a lancé notre projet, il y avait cette idée dans l’air que le voisinage était en déclin. En réalité, on observe une grande stabilité depuis les années 80, date de la première grande enquête sur la question.

Existe-t-il des différences entre les villes et les campagnes ?