«Ma fille est la victime collatérale d’une affaire qui la dépasse» : six mois de prison avec sursis requis contre la fille du couple Garrido-Corbière – Libération

3 comments

1. Si je comprends bien ils n’ont ni constat d’huissier du tweet ni validation de X de l’existence même du tweet ?

2. >*«Inès Corbière est responsable des faits qu’on lui reproche. La politique n’a rien à voir là-dedans»*, a balayé Brigitte Lapeyronie, une avocate de parties civiles, elle-même candidate du parti d’Eric Zemmour lors des dernières législatives.

   Ca m’a fait gloussé de bien des manières. D’abord, la défense de l’accusée est justement qu’elle n’est pas responsable des faits qui lui sont reprochés, ce qui est appuyé notamment par les données fournies par Twitter. Ensuite, la justice est éminement politique quand un état de droit est bafoué, ce qui est le cas dans d’autres pays (coucou les US où on commence à attaquer les opposants), et on a quand même une instrumentalisation de la justice en France (par exemple, l’affaire des assistants parlementaires de Mélenchon qui proviendrait d’un signalement de la députée Sophie Montel, ou encore cette même affaire où on a Damien Rieux qui joue un rôle important). On a ensuite cette déclaration d’une candidate de Reconquête.

   >Dans une ambiance tendue, les parties civiles, parmi lesquelles l’Organisation juive européenne (OJE) et l’Observatoire juif de France (OJF), ont insisté sur le refus de la jeune femme de transmettre le code de son téléphone aux enquêteurs, y voyant un indice accablant.

   Ah bah si elle veut pas donner le code de son téléphone c’est forcément qu’elle est antisémite !

3. Si il y a pas de preuves, il ne doit pas y avoir de condamnation.

   Par contre, libération:

   >*«Je suis antisémite, je m’en bats les couilles. J’assume…»* Cette vidéo, très brève et sans élément de contexte,

   Définitivement à classer dans les torchons? D’ou il faut du “contexte”? Elle se dit clairement antisémite, pas besoin de contexte…

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