Ligue des champions (finale). PSG – Inter Milan : 5-0

Et à la fin, c’est (aussi) l’argent qui gagne. La cohérence du projet sportif désormais mené au Paris SG ne doit pas faire oublier que le succès parisien s’est bâti avant tout sur un immense tas d’argent. Les investissements du Qatar dans le PSG depuis 2011 ont été tels qu’il était écrit que la Coupe aux grandes oreilles finirait par se donner à un nouveau riche supplémentaire, le troisième depuis le début du siècle après Chelsea (2012) et Manchester City (2023). Quand les clubs anglais et leurs milliardaires de propriétaires avaient mis respectivement neuf et 15 ans à toucher au but, il en aura fallu 14 au PSG. Dans la norme, en somme.