François Sarano : “Chaque créature vivante, comme nous les humains, est singulière” • FRANCE 24

place à nous inviter au cœur de l’info je suis heureuse très heureuse en fait de recevoir depuis Nice deux personnalités qui est Claire l’océan François Saran océanographe et Marine Calmé juriste ont noué un un dialogue leur texte s’intitule Justice pour l’étoile de mer vers la reconnaissance des droits de l’océan c’est chez Acte Sud la science et le droit au service de l’océan de ce qui le peuple de ce que c’est ce que vous allez défendre pardonnez-moi Annie ces prochains jours et que vous portez en vous depuis longtemps vous allez nous raconter tout cela bonsoir j’aimerais tant être avec vous en plus le cadre est est magnifique vous allez vous avez l’air d’être très bien là en ce moment à Nice alors nous avons parlé dans un instant des enjeux de ce sommet mais avant cela François Sarano partagez avec nous ce qui vous anime l’océan vous lui avez dédié votre vie il couvre l’essentiel de notre terre et pourtant nous n’en savons presque rien et oui non seulement nous n’en savons presque rien mais nous ignorons ceux qui l’habitent parce que nous ne voulons pas les reconnaître nous ne intéressons qu’aux espèces ressources le la morue le bar et les autres il n’existe pas et donc ce refus d’existence fait que nous ignorons ce qui les habitent et que on pêche en aveugle et qu’on détruit en aveugle les communautés vivantes support de notre vie ces communautés vivantes vous les côtoyez vous êtes un scientifique vous connaissiez des tas de choses sur cette faune sous-marine jusqu’au jour où vous les avez véritablement rencontré quand s’est faite cette rencontre alors cette rencontre s’est faite en plongée et en particulier au cours du tournage du film Oéan de Jacques Perin et Jacques Clusau et Jacques nous avait dit soyez poisson parmi les poissons et tout d’un coup je suis passé du stade de scientifique qui dissequent les animaux qui essayent de comprendre les détails des détails et je me suis rendu compte que je m’étais perdu pour connaître la vie il faut aller à sa rencontre et là Je découvert que tout d’un coup parmi ces poissons parmi ces étacés parmi ces cachalot j’étais un au milieu des autres vivants et que je faisais partie de ces vivants nous sommes que nous le voulions ou non indéfectiblement liés à tous les vivants de cette planète à chacun d’entre eux par 3,8 milliards d’années de coévolution ce que nous sommes aujourd’hui c’est grâce à cette évolution concertée de tous les individus de chacune des espèces et si je devait nous définir chacun d’entre nous je définirai par les liens que nous tissons avec les autres on se définit pas par son grand nez ses oreilles ou sa bouche on définit par les relations qu’on tis avec ses amis avec ses parents avec le cachalo Elliote avec le grand requin blanc Lady Mystery c’est ça qui nous construit c’est ça qui nous fait et c’est ça qui nous place au sein de la société et ben pour chaque être vivant ce sont ces liens qui les placent au sein de l’écosystème et il n’y a qu’un écosystème mondial une seule biosphère une seule planète un seul un seul océan rien de rechange alors préservonsla faisons de cette planète une zone protégée préservée c’est notre maison commune il y a pas le choix si nous voulons offrir à nos enfants un monde désirable vivable un monde joyeux où il y aura de la beauté stéphane Doués était sur ce sur ce plateau la semaine dernière il était venu nous parler du manifeste du plancton et il nous a dit exactement la même chose la vie n’a pas conquis la terre par la force et le combat mais en tissant un réseau au fil des partages hétéroycliques hétéroclite pardonnez-moi marine calmé nous ne savons pas grand-chose on l’évoquait tout à l’heure de ce qui peuple nos océans mais le peu que nous nous en connaissons François vient de l’évoquer nous l’exploitons sans en mesurer les conséquences et c’est là que vous entrez en scène avec cette révolution que vous êtes en train de faire par le droit oui tout à fait en fait il s’agit aujourd’hui de proposer un nouveau modèle alternatif au droits de l’environnement au droit maritime qui finalement se résume à regarder l’océan comme un ensemble gisement de de marchandises de biens de ressources écosystémiques de services et pas justement comme une communauté vivante pas comme un réseau d’interdépendance d’être intimement lié entre eux or justement le mouvement des droits de la nature apporte ce changement de regard juridique sur le monde au lieu de nous regarder nous êtres humains comme l’alpha et l’oméga du vivant la seule finalement espèce valable au sommet de la pyramide et bien il s’agit de comprendre comme l’a très bien dit François que nous appartenons aux vivants et donc de créer un droit surmesure pour protéger nos interdépendances pour protéger les milieux de vie dont nous dépendons et ça demain c’est absolument vital et donc le mouvement mondial pour les droits de la nature vise d’une part à reconnaître que la nature est une communauté vivante un sujet juridique et politique en tant que tel et que la nature a des droits et que l’océan a des droits et chaque entité qui le compose a des droits parce que demain il s’agit de cette manière-là de rééquilibrer nos activités humaines afin qu’elles deviennent compatibles respectueuses des droits des autres ces autres qui peuplent l’océan et qui aujourd’hui ne sont que des objets des marchandises à notre disposition donc c’est à la fin révolution éthique juridique philosophique politique c’est une manière de recomposer la gouvernance de nos océans et faire en sorte que justement on retrouve notre place qu’on retrouve une dynamique qui soit une dynamique de cohabitation de partage avec ces milieux marins françois quelque chose à rajouter je crois oui pour ajuster notre place avec les autres il faut les reconnaître or aujourd’hui nous ne les reconnaissez pas on ne s’occupe que de 150 espèces ressources et de 50 espèces emblématiques la baleine le cachalotou le dauphin mais le monde marin c’est 250000 espèces qui ont déjà été décrites et des milliers qui ne l’ont pas été et celles-là elles sont rien je répète rien moins que la boue les cailloux et le sable par conséquent tant que elles n’auront pas d’existence tant que nous ne les reconnaîtrons pas nous ne pourrons pas ajuster nos activités à leur égard on ne protège pas rien on protège si on reconnaît et après ça on peut négocier quand on reconnaît l’existence de l’autre oui on nous aussi on a le droit d’existence le droit de vivre on a le droit de manger donc on négocie notre place mais on évite les dégâts collatéraux inutiles comme par exemple quand on pêche au chalu quand on pêche au chalu on va chercher des espèces ressources le merlu la langoustine truc comme ça mais on s’occupe pas des milliers d’individus écrabouillés écrasés déchirés déchiquetés qui sont remis à l’eau avec la boue et les cailloux ils ne sont rien on ne les considère pas ils n’ont pas d’existence comment voulez-vous qu’on ajuste notre activité si tout d’un coup eux on leur donne pas un droit d’existence vous insistez là-dessus dans votre texte hein l’écosystème est insécable il faut vraiment penser le vivant tout ensemble et pas par chapelle si je puis dire on on comprend que c’est cette relation qui euh qu’ qu’il faut qu’il faut faire bouger euh ça relève de la sensibilité autant euh que de la que du droit évidemment vous parlez de ces personnalités que vous rencontrez sous l’eau François euh presque des je ne parlerai pas d’amitié mais dans tous les cas de relations que vous nouez avec ces ces animaux que vous rencontrez oui alors au-delà des relations le travail que nous menons par exemple avec le clan de Cachalot dans l’océan Indien pendant 15 ans nous avons partagé la vie d’un clan et vu naître les petits on les a vu grandir nous a montré sans aucun doute que chacun construisait son monde propre chacun avait sa personnalité chacun était singulier unique et quand on dit singulier unique ça veut dire irremplaçable or en droit les les individus sont remplaçables les uns par les autres ils sont comme si c’était des boulons qu’on peut interchanger non chaque créature vivante comme nous les humains est unique singulière c’est ça qu’il faut comprendre et cette singularité c’est justement la singularité des liens que chacun tisse avec les autres cette singularité là c’est celle qui fait la toile du vivant on parle de toile on comprend bien que la toile c’est des fils et des liens et bien quand on a compris ça on sait que si on déchire ces fils si on les coupe et bien la toile s’ filoche et nous tomberons avec et je veux prendre un exemple très simple est-ce que vous négociez avec vos bactéries et avec tout ce que votre flore intestinale et ben vous êtes obligé de le faire parce que si vous ne négociez pas avec elle elle est malade et vous mourrez h cela veut dire que naturellement déjà on essaie de manger correctement et puis de soigner ceux qui vivent en nous et qui nous sont absolument nécessaires pareil pour les relations qu’on tisse à l’extérieur vous les choyez parce que si d’un coup vous êtes seul alors là aussi vous mourrez et et donc il faut comprendre que les autres êtres vivants fonctionnent de la même chose la même manière et surtout on ne sait pas où arrêter cette relation où mettre le curseur donc il faut tout préserver et donner droit d’existence à chaque nœud singulier de ces interdépendances ce qui se passe à l’extérieur de nous se passe à l’intérieur de nous et vice-versa on l’entend il faut lire absolument votre déclaration des droits de de l’océan marine elle est évidente alors vous vous êtes appuyé sur ce qui se fait déjà en en Équateur en Espagne notamment en Nouvelle-Zélande aussi tout à fait en fait aujourd’hui le mouvement mondial et droit de la nature il a notamment été euh par le biais de l’Équateur euh une ressource pour nous pour nous inspirer évidemment de ce qui marche aussi de ce qui propose des solutions systémiques et en Équateur pays qui est vraiment pionnier de la question puisque déjà depuis 2008 les droits de la nature sont inscrits dans la constitution équatorienne ça a permis de prendre tout un tas de décisions et notamment des lois très fortes une loi qui protège les Galapagoses par exemple et qui a imposé en fait le fait de respecter le bien-être de l’écosystème des Galapagos mais aussi de toutes les populations humainees et autres qu’humaine qui peuple ce territoire et puis récemment l’Équateur nous a vraiment offert une jurisprudence magnifique puisque dans un cas qui qui est très concret qui parle à la France et à beaucoup d’autres pays sur le cas de la pêche intensive et notamment du chalutage l’Équateur s’est engagé depuis plusieurs années déjà par une loi a tout simplement interdit la pratique des pêches destructrices dans les h premiers 1000 marins et cette décision qui avait été contestée devant les tribunaux et bien le juge constitutionnel est venu rappeler que interdire les pratiques de pêche lorsqu’elles contreviennent aux droits fondamentaux des écosystèmes marins mais aussi des populations côtières qui en dépendent c’est une nécessité et c’est de la responsabilité de l’État que de légiférer sur ces questionslà et donc on le voit de cette manière-là nous avons des outils non pas pour juste faire des petites mesures cosmétiques pour maintenir un petit peu en surcil le droit existant non pour tout transformer transformer totalement notre modèle juridique reconnaître les interdépendances l’altérité voir dans l’autre un sujet juridique et politique qui a des droits des droits qui sont opposables à nos modèles dominants nos modèles économiques qui ne sont pas compatibles avec la vie sur terre que ce soit d’ailleurs en mer comme à terre il faut complètement revoir nos modèles économiques et l’outil des droits de la nature permet en cela d’actionner la possibilité de revoir nos institutions de repenser comment on pense demain une gouvernance qui ne donne pas la priorité à l’argent qui ne donne pas la finalement les clés de nos institutions à ceux qui tirent un profit substantiel de la destruction du vivant c’est ce ces outils juridiques dont on a besoin demain pour faire face et donc ça ça se passe évidemment là à l’UnC dans les négociations internationales où nous voulons absolument que les droits de la de l’océan apparaissent dans le texte final qui sera adopté à Nice mais aussi dans chaque pays où les droits de la nature sont portés par des collectifs la société civile et vraiment en première ligne sur ce sujet-là dans tous les pays où les droits de la nature se propagent c’est par le biais des associations et des citoyens et nous on est déjà plus de 55000 citoyens à avoir signé une pétition un appel pour les droits de l’océan qu’on a lancé sur change.org chaque citoyen peut le signer on est déjà plus de 55000 et donc on veut porter ce sujet-là jusque à aux délégations des Étatsmembres qui sont présents et aux autres organisations pour nous aider à nous faire entendre et à obtenir un texte ambitieux pendant l’UNOC et ça c’est hyper important de le rappeler parce qu’effectivement nous sommes tous responsables nous avons chacun d’entre nous du pouvoir nous pouvons agir à notre niveau on peut parler de consommation déjà notre consommation personnelle la France est le deuxème domaine maritime au monde la responsabilité de la France est importante la France n’est pas exemplaire il y a des décisions qui sont prises au niveau ministérial qui ne sont pas exemplaires depuis plusieurs semaines vous les interpellez sur ces questions-là cette conférence on en attend énormément vous savez à quel point le temps de la diplomatie et de la politique ne correspondent plus du tout à celui de l’urgence environnementale comment est-ce que vous pouvez peser dans des rendez-vous comme c ceci ils sont nécessaires vous devez être présent mais vous savez qu’il y a un risque de déception qui qui peut être là la déception elle serait vraiment si on participait pas honnêtement nous on a besoin de montrer que justement il y a des propositions alternatives il y a d’autres messages justement qui doivent être envoyés et on doit pas céder à la morosité quand dans les ministères effectivement on entend que on fera de la protection dans les aires marines au cas par cas c’est insoutenable ce n’est pas valable cela comme positionnement politique euh notamment parce que aujourd’hui on est pays haute de la conférence des Nations-Unies sur le Séance donc on ne peut pas se permettre d’être le mauvais euh élève de la classe et donc on veut vraiment porter cette voie-là dans les médias parce que c’est justement maintenant que ça se joue d’obtenir de la part du gouvernement et d’Emmanuel Macron des propositions contraignantes ambitieuses et qui vont de l’avant au lieu de faire justement un droit au cas par cas à la carte à la tête du client ça c’est inacceptable il faut vraiment s’engager fermement pour montrer justement que la France peut aussi avoir une dynamique globale sur d’autres États on peut pas se contenter de la déclaration aujourd’hui françois Sarano vous vous interpellez notamment grâce à votre passion parce que vous êtes quelqu’un de passionné vous n’êtes pas seul votre épouse vous accompagne vous vous plaidez depuis longtemps pour multiplier les les vraies réserves marines sans aucun prélèvement ni pêche ni extraction minière on en a reparlé récemment avec cette décision de Donald Trump qui est prêt à à exploiter à nouveau sans sans aucune autorisation c’est essentiel pour vous de rester mobilisé sur ce dossier essentiel d’avoir des réserves marines en libre évolution sans prélèvement parce que c’est le seul moyen de laisser à la vie le temps de renaître si nous voulons offrir à nos enfants une mère plus riche que celle que nous connaissons c’est facile faisons encore une fois ces vraies réserves et tout le monde en profitera je reviens quand même sur ce qui fait le corps de ce que nous demandons faisons des autres vivants non plus des objets ressources mais des partenaires de vie nous n’avons qu’une seule biosphère nous sommes liés à eux et si nous devons les représenter cela va renforcer notre démocratie parce qu’il va falloir des représentants les gens vont s’intéresser il va y avoir des discussions pour représenter l’étoile de mer le cachalot et négocier ensemble en gros élargissons notre démocratie de petit pays à une démocratie à une démocratie vivante de la biosphère et là tout d’un coup ah enfin nous allons pouvoir respirer et envisager un monde durable un monde qui sera vivable parce que aujourd’hui en ignorant les autres nous suicidons il est nécessaire de les prendre en compte on attend beaucoup de ce cette conférence notamment avec le traité sur la biodiversité haute mer qui dont on espérait qu’il serait ratifié c’est pas qui du tout je crois qu’il y a pas le nombre de signatures suffisantes ce qui est assez désespérant puisque beaucoup de pays s’étaient engagés je crois que quand même les diplomates français ont fait un un un très gros travail pour essayer de mobiliser les les parlements étrangers et puis là c’est une une grande déception qui s’annonce pour cette conférence alors déception les pays se parlent encore regardez ce qui se passe aujourd’hui dans le monde merci d’avoir réuni merci la France d’avoir réuni ici 140 pays c’est formidable on se parle on doit se parler on doit se parler entre nous les humains et on se doit se parler avec les autres vivants ça c’est la clé ensuite quand même c’est la 3e conférence seulement sur les océans enfin on met les océans à l’honneur et j’espère surtout que le président Macron va réaffirmer avec force sa position contre l’interdiction de l’exploitation minière des grands fronts marins parce que si on commence cette exploitation alors nos enfants ne verront plus jamais les êtres vivants qui peuplent les abisses et ça aura un retentissement sur l’ensemble de la vie marine mais la France doit être exemplaire il faut qu’elle prenne de véritables mesures pour ses réserves qu’elle dit être protégée ben non nos réserves ne sont pas protégées il faut interdire le chalutage dans les réserves marines il faut pas simplement les mettre en classe 6 qui de la bonne gestion mais ça devrait être aussi un mondial qui est en bonne gestion allons soyons sérieux il y a pas de gestion de la vie la vie elle sait faire ça fait 3,5 milliards d’années qu’elle a d’expériences elle se gère toute seule elle a pas besoin de nous mais on elle a besoin de place et de temps de temps et de temps sans qu’on intervienne Marine Cal mais qu’on aille la voir pour rentrer en contact avec elle marine Calv ce sera ma dernière question on a d’autres choix que de s’engager je le rappelle au niveau politique au niveau diplomatique et au niveau personnel oui on n pas vraiment le choix c’est pas c’est un peu le loyer en fait de vivre sur cette planète he que de s’engager on est là et on fait partie du vivant et donc aujourd’hui il s’agit pour nous la société civile de tous les de toutes les nations de tous les pays réunis à Nice de porter cette proposition pour les droits de l’océan il y a des d’associations qui viennent des États-Unis il y a eu des représentants notamment Maori et des îles de l’océan Indien qui portent ce texte également qui portent d’autres propositions sur les droits des baleines des tortues des requins on a vraiment besoin de mettre au pot commun nos forces et de faire en sorte de faire bouger ces textes-là et donc aujourd’hui euh sur la biodiversité notamment on a besoin d’un changement de regard on doit arrêter de passer justement de de gestionnaire de gestionnaire de patrimoine comme si on avait un portefeuille euh d’éléments de la biodiversité ou un portefeuille marin non justement les droits à la nature apportent des réponses éthiques nous devons vivre avec les autres voir même nous devons associer nos sociétés à vivre comme l’océan pensez à vos enfants pensez au monde que vous voulez leur offrir merci infiniment François Sarano je pense que vous avez convaincu ceux qui avaient besoin d’être convaincu c’est certain merci pour votre passion euh euh Marine Calmé merci infiniment d’avoir répondu à nos questions je vous souhaite quand même un très beau sommet et je sais qu’il y a de très nombreuses personnes sur place sévestre je le disais Stéphane Douzel qui sont là qui vous accompagnent qui eux aussi vont se mobiliser pour le plancton pour les glaciers pour tout l’espace maritime

En direct depuis Nice, nous recevons deux personnalités engagées pour la protection de l’océan : l’océanographe François Sarano et la juriste Marine Calmet. Ensemble, ils ont noué un dialogue, dans l’ouvrage “Justice pour l’étoile de mer : vers la reconnaissance des droits de l’océan” (éd. Actes sud). La science et le droit au service de l’océan et de ses habitants. C’est ce qu’ils vont défendre à Nice ces prochains jours.
#Environnement #Océan #Biodiversité

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5 comments
  1. Le droit et l'inteligence et l'interes des etres humaines avec ,bien sure, la nature sur la Terre avec nous les homnes et le femnes ,nous sommes capables de vivre la vie sans l'extermination des autres mamipheres ,ou poisons, etc. Le video d'Aude sur France 24 est educative.

  2. J'ai écouté ce monsieur sur France info à 07h20 lundi 09 juin .
    " Une aire dans lequel et ..dans lequel"
    Alors que le poète des fonds marins se penche sur les accords de genre.😅

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