Interrogé au sujet du niveau de Sinner et d’Alcaraz, Taylor a fait son choix. 

« Je dirais que Carlos est mon adver­saire le plus coriace, mais je dois préciser que lors de la Laver Cup l’année dernière, j’ai affronté sa version la plus diffi­cile, celle où on a l’im­pres­sion qu’on ne peut rien faire. Bien que Sinner m’ait clai­re­ment battu plusieurs fois, de manière assez convain­cante, au moins lors de ces matchs, j’avais l’im­pres­sion de pouvoir jouer au tennis. En Laver Cup contre Carlos, j’ai eu l’im­pres­sion, pendant 80 ou 90 % du match, de ne rien pouvoir faire… »