Fast Fashion : le prix élevé que nous payons pour la mode bon marché • FRANCE 24

Place [Musique] tout de suite à votre rendez-vous. C’est derrière l’image. On prend le temps de de décrypter l’info mais cette fois à partir d’une photo qui qui fait sens. Et on accueille aujourd’hui Christophe Biss. Bonjour Christophe chef de rubrique économie et entreprise à Z conversation France. Alors, un sujet qui parle à beaucoup aujourd’hui, mais on va l’accrocher avec une photo, une image qu’on va apercevoir à l’écran, c’est celle d’un atelier de fabrication de textile. Bonjour Ellisabeth. Oui, oui, tout à fait. C’est une image que l’on doit à Jad Tao pour la FP. Elle est intéressante parce qu’elle représente la coulisse. S’il vous arrive d’acheter des des accessoires, des des des vêtements sur sur un un des sites de e-commerce, il suffit de sortir votre portable, vous cliquez, enfin, vous tapez deux fois avec votre doigt, vous l’avez. Et là sur la photo, je trouve qu’on voit très bien derrière tout le travail humain qu’il y a qu’on finit par oublier à force d’ad. C’est presque artistique maintenant. Ouais, en plus elle est artistique. Elle est très très belle cette photo. On voit vraiment, c’est une usine dans la région de Canton qui fabrique des du textile. Donc pour Tmu. Euh alors pourquoi on parle de TMU ? Bah parce que d’abord TMU et Chine, ce sont deux entreprises qui ont réussi en très très peu de temps. Il y a 5 ans, il faut se dire qu’elle n’existait quasiment pas. Quasiment pas. Tuu aujourd’hui c’est qu c’est 18 millions de Français qui vont 15 millions qui vont sur celui de Chine c’est moins qu’Amazon ou le Bon Coin mais c’est beaucoup encore une fois si on réalise la vitesse à laquelle ça a été sont des marques qui ont moins de 10 ans. J’ai j’ai pas l’intention d’aboutir tout le monde avec des chiffres mais mais vraiment les chiffres sont tellement impressionnants que je trouve qu’il faut faut les donner. Le cabinet Joco qui étudie les dépenses des Français indique que Chine est devenue aujourd’hui l’enseigne pardon de vêtements où les consommateurs français dépensent le plus. H alors pour juste expliquer l’image, c’est extrêmement dense, il y a beaucoup de monde qui qui travaille et beaucoup de produits également à l’écran parce qu’il y a une vraie cadence. Il y a ces petits ventilos là colorés qui qui souffrent au-dessus des têtes parce que il faut donner un peu d’énergie au travailleurs, aux petites mains. C’est celles qui produisent donc ces produits issus de la la Fast Fashion qu’on achète facilement à l’aide de clic. Et donc on va s’intéresser à cette façon de de de produire derrière l’achat peut-être parfois très souvent compulsif. Comment est-ce qu’on explique le succès ? de ces marques qui arrivent à vendre des milliers de de pièces chaque jour. Alors à The Conversation France, on a publié un article d’Henry Isaac qui est maître de conférence à Paris Dauphine et expert du e-commerce et alors lui, il a mis les mains dans dans le moteur de TMU, plus spécifiquement plus que sur Shine. Alors TMU, c’est une filiale d’un acteur chinois qui à l’origine achète et vende des fruits. C’est l’entreprise s’appelle alors je vais essayer de le prononcer bien pain duo duo. Je je suis absolument pas sûr de ma prononciation. En tout cas, ce que ce que dévoile le chercheur qui a écrit pour nous, c’est un un modèle d’affaire du d’une redoutable efficacité. Il faut savoir que TMU en fait ne fabrique rien. Il passe des enchères inversées. Ce qu’on appelle des enchères inversées. C’est-à-dire qu’il dit “Bah, j’ai besoin, je sais pas, de 5 millions de jupes, je je dis n’importe quoi, 50 millions de jupes et il prend la moins chère.” Et l’autre originalité de ce modèle, c’est que les biens sont stockés. Les biens sont stockés par le producteur. Donc eux, ils n’ont pas de coût de stockage. Et puis les invendus, c’est aussi les producteurs qui les qui son qui s’en chargent. Donc en terme de distribution, c’est un modèle très intéressant parce que ça réduit beaucoup les fruits financiers qui sont d’habitude quelque chose qui peuvent gréver le le le budget d’un d’un producteur. H comment est-ce qu’ils font pour arriver chez les chez les clients ? Alors là aussi euh on on s’en doutait un petit peu mais il a là encore il a été regardé le chercheur là Henri Isaac, il a été cherché à l’intérieur des rapport d’activité, il a été regardé, il a vu la la masse des investissements publicitaires. Donc si on prend le groupe le groupe qui euh auquel appartient TMU, donc Pinoio, en 2023, ils ont dans le monde entier dépensé 10 milliards de dollars sur une hausse de 34 % par rapport à l’année précédente. On estime que à lui seul TMU dépenserait chaque année 4 à 5 milliards de dollars. Je ne sais pas si vous allez sur certains réseaux sociaux ou si vous jouez au jeux en ligne, mais vous pouvez quasiment pas échapper à une pub de d’une de ces deux marques. Je suis pas trop fan, mais effectivement, j’imagine que ça y va en terme en terme de pub. Tout semblait aller plutôt merveilleusement bien pour ces marques jusqu’à ce que quoi que les politiques s’y intéressent. Et oui, c’est peut-être là où le babless ou c’est peut-être là où ils ont on a découvert un talon d’Achile qu’on imaginait pas, c’est que leur succès était tellement fulgurant, bah que évidemment les politiques ont commencé à regarder ce qui ce qui se passait, comment c’était possible. Et donc il y a il y a une un projet de loi actuellement qui a été voté en qui vient d’être voté au Sénat et qui va maintenant aller en en commission mixe paritaire avec l’Assemblée nationale je crois à l’automne. Et c’est ce qu’on va voir dans un reportage réalisé par par quelqu’un des équipes de France 24. J’ai pas son nom, je suis navré pour lui. Des vêtements à prix cassés, un marché gigantesque éphémère et à bas coup de marques connues de tous. des produits textiles visés par une proposition de loi notamment à cause de leur impact écologique et de leur concurrence jugé des loyales. Le texte voté à l’Assemblée nationale en mars 2024 a été modifié au Sénat lundi pour se recentrer sur la mode ultra express avec dans le viseur les plus grands géants chinois de la Fast Fashion comme Chin ou TMU. Ce texte que tel qu’il est aujourd’hui nous permettra de mettre un frein vraiment à ces euh géants euh chinois qui nous envahissent sans aucun contrôle, sans aucune norme, sans payer aucun impôt en France. En modifiant la proposition de loi, les sénateurs affirment vouloir épargner les groupes français et européens comme Zara, Kabiabi ou H&M qui aurait pu être concernés par l’ancien texte. Les géants chinois dans le viseur auront l’obligation par exemple de sensibiliser les consommateurs à l’impact environnemental de leurs vêtements. Réduire l’impact environnemental oui mais à condition que ce soit collectif. Nous avons aujourd’hui des millions de Français qui viennent chez nous car nous proposons une mode abordable. Ayons une action collective, ayons une action une action d’ensemble avec l’industrie pour réduire cet impact. En revanche, le bonus malus ne concernera pas que les grands groupes chinois. En fonction de leur affichage environnemental, des entreprises pourraient se voir pénaliser d’au moins 5 € par produit et possiblement de 10 € d’ici 5 ans. La publicité pour les groupes de la mode d’Ultra Express devrait être interdite. Cette proposition de loi doit permettre de réduire la consommation de textile en France. Plus de 48 vêtements par habitant sont mis sur le marché chaque année et 35 sont jetés chaque seconde dans le pays. Le texte doit être voté au Sénat le 10 juin. Voilà des marques de l’Ultra Fast fashion qui pose vraiment un problème aujourd’hui. C’était le sujet des Lamel qu’on vient de voir à l’instant. À quel point ça pose problème ? Alors moi avant avant de parler du problème, j’aais juste modérer un peu dans la présentation qu’on en fait souvent on accuse souvent la consommation des plus pauvres et euh on a ça sur la malbouffe, on a là sur l’ultrafast fashion, on peut avoir ça aussi sur l’essence. C’est peut-être aussi parfois une manière de de stigmatiser certaines populations et leur consommation. Je je je tiens à dire que avoir des placards qui sont pleins de vêtements de marque, c’est pas forcément mieux non plus. La question qui est posée aujourd’hui, c’est celle de la sobriété de notre consommation. La l’Ultrafast fashion, elle pose un autre problème qui qui est lieu au commerce. On y reviendra peut-être après, mais là ce qui le vrai problème, c’est un problème écologique, on le sait. Euh le secteur stéctile dans son ensemble à l’origine de 4 à 8 % des émissions de gaz à effet de serre. C’est l’ADM qui le dit. On considère aussi que c’est que le secteur du textile, ça représente 20 % de la population mondiale d’eau potable. Et ce n’est qu’une partie du problème parce qu’il y a aussi le problème terrible du recyclage que qu’on va voir maintenant. Et c’est ce qu’on va aller voir dans un reportage qui a été tourné récemment au Ghana par nos équipes. Le Ghana qui se retrouve confronté au fléau de la pollution textile. Explication. Les vagues de l’océan Atlantique les rejettent inexorablement sur les plages où ils viennent s’entasser sur des centaines de mètres. Des milliers de vêtements portés autrefois chez nous en Occident finissent leur vie ici et polluent toute la côte jusque dans le centre d’Akra, la capitale. Cette dune artificielle ne cesse de croître depuis 15 ans. Haute de 20 m, elle est en grande partie composée de ses vêtements abandonnés devenu le cauchemar des rivers. Regarde tout ça, on en a pas besoin, ça ne nous sert à rien. Sous leur pied, de vieux habits de marque américaines ou européennes qui affectent aujourd’hui leur santé. Ça c’est un jean de la marque Boss. Et là, regarde, c’est un autre jean. Tout ce que vous voyez autour, nous le brûlons. Nous le brûlons encore et encore, mais il y en a toujours plus. Ça nous rend malade, ça donne de la fièvre, des mots de tête et beaucoup d’autres choses. Les fumées de ces feux sont probablement toxiques, même si aucune étude scientifique n’a jamais été réalisée ici. Alors, d’où viennent ces vêtements ? Chaque jour, le pays en reçoit 160 tonnes par bateau. Ce sont en fait des vêtements usagers qui ont été donnés à des associations en Europe ou aux États-Unis, mais dont plus personne ne veut dans les pays développés. Des entreprises internationales de recyclage les envoient ici finir leur vie. Sur le marché de Kantamanto, ils sont finalement revendus en vrac quelques centimes du kilo. Nous achetons des vêtements de seconde main et ensuite nous les vendons. C’est pour ça qu’on est ici. Ça vient de Londres, de Dubaï, du Canada. Au Ghana, toute une économie s’est développée autour de ces fripes. En haut de l’échelle, il y a des grossistes. Dans cette boutique, des dizaines de sacs attendent de trouver preneur. Ça, c’est des robes d’enfants et là c’est pour les bébés. Ça c’est des sous-vêtements pour hommes. Vous voyez tout ce qu’il y a ici ? C’est un gros business dont je m’occupe. Habituellement, on reçoit ça deux ou trois fois par mois. Ensuite, les vêtements sont revendus par les détaillants et chacun a sa spécialité. Ici, des chaussures, là des soutien gorge. Le problème, c’est que dans cette montagne de Frip, très peu sont finalement encore utilisables. C’est je je je trouve ce reportage extraordinaire parce qu’il illustre à mon avis, il illustre au moins deux phénomènes, la mondialisation. On voit quand même comment la consommation des pays des des habitants du nord finissent dans le sud. Et puis si on voulait un jour expliquer ce que c’est un fait social, je trouve ça extraordinaire parce que chacun individuellement, on croit bien faire en recyclant un vêtement et en se disant quand on en achète un que finalement il finir recycler. Puis là on voit l’effet de masse, l’effet mondial de tout de tous ces vêtements recyclés. Je trouve ça vraiment extraordinaire. Euh après euh donc comme je vous disais tout à l’heure, je je trouve que derrière ça ce qui est intéressant c’est que ça pose vraiment la question de notre rapport individuel à à la consommation de vêtements. Euh ce qu’il faut voir c’est que moi je le en préparant les chiffres m’ont fasciné le à quel point le prix des vêtements a baissé en 1964 euh selon l’INC he qui calcule le la part de l’habillement et des chaussures dans le total de la consommation c’était 12,6 % du total. J’ai juste envie de vous demander si vous avez une idée de combien c’est aujourd’hui. Pas du tout. Surtout qu’on achète plus donc c’est peut-être encore aujourd’hui ce n’est que 3 % c’est 2,9 % tellement les prix OBC. Alors ça il y a des raisons malgré la la surconsommation. Oui malgré la surconsommation les prix on on ont vraiment été je veux dire on compare à 64 he c’est en 60 ans. 64 on acheté encore un costume du dimanche ça à mon avis et voilà enfin vous vous achetez d’Europe vraiment. Qu’est-ce que je voulais dire ? Du coup, je me suis perdu, c’est malin. Oui. Donc tout ça une explication évidemment, c’est la mondialisation, c’est le fait qu’on a importé ses bien de de pays à bien salaire et puis de pays à bas salaire, pardon. Puis jusqu’à une date récente, et bien il y avait pas de droit de douane sur les colis qui venaient par exemple de Chine en dessous de 800 dollars pour les États-Unis et de 150 € pour l’Union européenne. C’est en train de changer parce que évidemment Donald Trump est arrivé avec toute cette grande négociation sur les sur les les sur les sur les droits de douan. Donc tout ça pour vous dire que finalement tout ce textile aujourd’hui se retrouve au cœur d’une négociation mondiale entre les trois blocs. La Chine, on voit bien qu’après avoir été longtemps l’usine du monde, on disait que c’était l’usine du monde, elle a essayé de devenir peut-être avec ses marques Chine et Ténu de devenir le commerçant du monde puisque finalement avec internet et ben il y avait plus besoin d’avoir des boutiques physiques. C’était assez facile de de d’attaquer enfin d’attaquer de de de pénétrer les marchés mondiaux. Mais là les peut-être, je vous dis encore une fois, c’est ce que je vous disais tout à l’heure, peut-être que ce très grand succès peut-être aussi sa très grande faiblesse parce que les pays commencent à réagir. Hm. Il y a des problèmes visiblement lesquels exactement ? Alors, hier, il se trouve qu’on vient de lire, il y avait un un très bon article dans le monde qui parlait de la décommercialisation où on voit par exemple aujourd’hui que et bien il y a un institut d’étude qui s’appelle CODTA qui a montré qu’entre 2004 et 2024 en 20 ans la le nombre de taux de vacances des commerces dans les centres-villes est passé de 5,94 à 10,85. Moi je pense que la loi sur l’Ultra Fast Fashion, c’est aussi une loi qui s’inquiète du fait que les magasins ferment, que ça va poser de plus en plus des problèmes politiques parce qu’il y a des gens qui travaillent dans ces magasin. Alors évidemment le le commerce en ligne est pas le seul en cause hein. Il y a il y a le changement des votes de vie, il y a toutes ces chosesl. Il y a les zones commerciales aussi. Si vous allez dans n’importe quelle ville, vous avez aujourd’hui quatre zones commerciales autour avec des magasins. Bah évidemment les gens ils vont qui vont en voiture dans dans le supermarché, ils vont pas après retourner faire leur courses en centre-ville. Un petit mot positif pour finir, on a quelques secondes. Qu’est-ce qu’on qu’est-ce qu’on peut faire ? Moi, je crois qu’en économie de marché, ce qu’on peut faire d’abord etth ben c’est peut-être jouer sur le signal prix et pour ça, la loi est peut-être peut-être aussi une bonne idée parce qu’on met un bonus malus sur le textile et puis on va peut-être augmenter à mettre une taxe sur les colis et puis deux, c’est peut-être devenir nous-même plus responsable. Sachez queulation Ouais. Et puis sachez que quand même cette année, chaque année, on achète 42 pièces en moyenne par personne en comptant les enfants. C’est pour ça que c’est si élevé parce qu’on achète beaucoup pour les enfants et les bébés. Peut-être acheter un peu moins et réfléchir avant de le faire. Voilà, faut faut vouloir quatre fois un article apparemment avant de l’acheter. Faut rentrer chez soi, réfléchir refermer son téléphone. Voilà. Ah oui, ça c’est sûr, c’est une bonne idée. Merci beaucoup Christophe B, merci d’avoir été avec nous derrière l’image qui s’achève. Reste avec nous. Par direct revient dans quelques instants. [Musique]

Dans les débats publics sur l’écologie, un refrain revient sans cesse : la fast fashion détruit la planète, la malbouffe nous empoisonne, la surconsommation nous mène droit dans le mur. Pourtant, il y a là une forme d’aveuglement social dans certaines injonctions écologiques. Une tendance à confondre responsabilité et culpabilité, à ignorer les véritables leviers de transformation, les politiques publiques, les grandes entreprises, les normes de production, au profit d’un micro-contrôle des gestes du quotidien des plus vulnérables. Plus de précisions avec Christophe Bys, chef de la rubrique Économie et Entreprise à The Conversation France. Retrouvez les articles cités par Christophe Bys sur https://theconversation.com/fr : Comment fait Temu pour proposer des prix aussi bas ? (https://theconversation.com/comment-fait-temu-pour-proposer-des-prix-aussi-bas-245814), Derrière Temu, le succès d’un modèle Made in China (https://theconversation.com/derriere-temu-le-succes-dun-modele-made-in-china-247626), Réinventer sa garde-robe : une bonne résolution pour 2025 (https://theconversation.com/reinventer-sa-garde-robe-une-bonne-resolution-pour-2025-246264).
#FastFashion #Environnement #Mode

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6 comments
  1. Evidemment, nos "dirigeants" francs-maçons ne vont jamais avouer que l'accord "multifibres" entre l'UE et la Chine a détruit le textile européen et qu'ils s'en sont alors foutu plein les poches.

  2. En dynamique des systèmes ce que on appelle changer les paramètres et constantes, c'est ce qui est le moins efficaces pour changer la trajectoire d'un système

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