L’ancien Premier ministre britannique devrait prendre la tête, sous la supervisation de Donald Trump, de l’autorité de transition prévue par le plan de paix américain pour diriger Gaza. Tony Blair n’est pas un inconnu au Moyen-Orient. Après avoir quitté le 10 Downing Street en 1997, il était devenu envoyé spécial dans la région d’un quartet composé des Etats-Unis, de la Russie, de l’UE et de l’ONU. Et ce, jusqu’en 2015, sans briller par ses résultats. Il a participé à moult discussions avec l’administration Trump sur l’avenir de Gaza, et même sur le projet de Riviera. Il a longtemps été mal vu dans la région en raison de son soutien à l’intervention américaine en Irak en 2003.