Que portera Stéphanie de Luxembourg pour l’accession au trône le 3 octobre ?

Le portail des célébrités bunte.de a voulu déceler un «message caché» dans le look de la grande-duchesse héritière Stéphanie dès la Fête nationale de cette année. Oui, il est même question d’une «promesse silencieuse». Sa robe cape blanche arrivant au genou – une création de Paule Ka ornée d’une broche à fleurs multicolore de Sylvia Martinez – n’est «certainement pas choisie au hasard, mais véhicule un message clair», écrivait le magazine people cet été. «De plus, elle est un hommage à ses collègues royales européennes qui soutiennent leur mari à la tête du pays».

En raison de sa couleur, sa tenue évoque les récentes tenues de couronnement de la reine Mary du Danemark et de la reine Camilla de Grande-Bretagne qui, comme de nombreuses femmes avant elles, s’étaient toutes vêtues de la couleur de la pureté, de l’honnêteté et du nouveau départ pour l’intronisation de leur époux. Selon l’interprétation du magazine, le choix vestimentaire de la femme de 41 ans souligne qu’elle est prête à représenter le pays avec son mari Guillaume et qu’elle se laisse guider par les valeurs que nous venons de citer.

Le choix vestimentaire de la grande-duchesse héritière Stéphanie pour le portrait officiel du futur couple grand-ducal peut également être considéré comme un signe précurseur de ce que portera la Grande-Duchesse pour le jour de l’accession au trône. © PHOTO: Maison du Grand-Duc/Christian Aschman

Il est en effet très probable que la grande-duchesse héritière Stéphanie opte pour le blanc ce 3 octobre et s’inscrive ainsi parfaitement dans la lignée de ses prédécesseurs royaux. Le fait qu’elle pose à nouveau dans une robe de couleur correspondante sur les portraits officiels de l’accession au trône, publiés le 25 août par la Cour, en témoigne.

Et oui, sa belle-mère, la grande-duchesse Maria Teresa, portait, elle aussi, lors de la précédente passation de pouvoir en 2000, non pas une robe d’un blanc immaculé, mais une robe de couleur crème avec un haut élégamment brodé.

La grande-duchesse Maria Teresa a accompagné son mari Henri lors de l’accession au trône en 2000 dans une robe de cérémonie couleur crème. © PHOTO: André Kieffer/Archives LW

De bonnes cartes pour son compatriote

Le candidat le plus probable pour la conception de la tenue de l’avènement devrait être le Belge Edouard Vermeulen et sa marque Natan. D’autant plus que la Belge d’origine pourrait faire subtilement allusion à ses origines avec une tenue appropriée. C’est ce qui s’est passé dans le cadre des portraits officiels. La robe blanche, qui rappelle un peu la robe de mariée de la duchesse Meghan par sa coupe sobre et élégante, est une création de Natan Couture.

Ces dernières années, la grande-duchesse Maria Teresa et sa belle-fille ont régulièrement fait appel à la maison de couture, qui habille aussi régulièrement la reine Mathilde de Belgique et la reine Maxima des Pays-Bas, pour des occasions spéciales.

Récemment, la Grande-Duchesse héritière est apparue dans un ensemble deux pièces de la marque lors du dîner avec les ministres luxembourgeois au château de Berg. Au cours des derniers mois, on a également pu l’admirer dans des créations Natan lors de la garden-party de cette année au domaine grand-ducal de Colmar-Berg, lors des festivités du 25ᵉ anniversaire du trône de son beau-père Henri et lors de la réception d’État du président italien Sergio Mattarella au palais.

Récemment, la grande-duchesse Maria Teresa a même jugé les créations du designer doublement dignes du pape: lors de l’investiture du pape Léon XIV, elle est apparue dans une robe Natan blanche avec une dentelle ajourée décorative. Il s’agissait du même modèle que celui qu’elle avait porté en bleu foncé environ six mois plus tôt à l’occasion de la visite du pape François au Luxembourg.

Il reste bien sûr à voir si la grande-duchesse héritière Stéphanie répondra effectivement aux attentes en matière de mode le jour de l’accession au trône. La demande adressée à la Cour à ce sujet est malheureusement restée sans réponse à la clôture de la rédaction.

Cet article a été publié initialement sur le site du Luxemburger Wort. Il a été traduit à l’aide d’outils d’intelligence artificielle qui apprennent à partir de données issues de traductions humaines, puis vérifié par Cécile Vicini.