Au cœur du “donjon”, le paradis des hackers qui veulent sécuriser la crypto • FRANCE 24

Vidéo truqué de célébrité fausse identité en ligne à l’air de lia générative la confiance dans le numérique COD. Raison pour laquelle on va le voir des entreprises inoffres pour apporter une réponse au risques liés à l’intelligence artificielle. Peut-on y croire ? On en parle avec vous. Guillaume Gralé. Bonjour Guillaume. Bonjour Flor on le voit, il y a actuellement une surabondance et tout le monde en sera on sera content bien sûr de ce contenu généré en un éclair par Lia. souvent difficile à vérifier. cette réalité c’est un vrai défi aujourd’hui. Oui, l’intelligence artificielle Florent, elle permet à la fois des miracles, on le voit surtout en médecine, peut-être aussi certaines prévisions, des prévisions de catastrophe naturelles, mais aussi et bien c’est aussi l’air de la non vérité, en tout cas l’abondance de vidéos plus vraies que nature. jusqu’à 80 % des vidéos qui seront partagées l’an prochain seront partie généré par IA chiffre les spécialistes et à travers là j’ai voulu mettre un tout petit clin d’œil de li l’actualité où en fait en réalité on ne sait plus véritablement ce qui est vrai et pas vrai. C’est aussi l’intelligence artificielle l’air de l’abondance avec énormément de données qui circulent et bien il y a la volonté effectivement de s’en remettre à d’autres technologies. on va peut-être avoir des des romains de la romantique plus vraie que nature. Et bien euh il y a il y a le le la volonté d’utiliser la blockchain. C’est un peu ce registre décentralisé un petit peu comme un livre qu’on va installer au milieu du village et qui va permettre non seulement de vérifier un historique de transaction mais aussi leur intégrité. Ledger, un spécialiste de la sécurité numérique en tout cas veut relever ce défi. Il a fait appel à une ancienne designer star d’Apple et à la clé donc un produit qui s’adresse au grand public. Oui, c’est ça. C’est le ce produit, je l’ai je l’ai avec moi, ça s’appelle Nano Gen 5 et j’étais au lancement hier et c’est c’est vrai que Ledger, alors on en a pas beaucoup, c’est un véritable champion français, c’està-dire c’est plus de de 700 salariés, pas pas moins plusieurs centaines à Paris. C’est euh c’est utilisé dans 65 pays, mais ça va vous permettre en réalité ce petit appareil qui fonctionne à l’encre électronique, ça va vous permettre en réalité de sécuriser euh des transactions euh des transactions électroniques. Euh en réalité, c’est un ça va à l’intérieur de ce petit nano, vous avez une puce sécurisée de type Secure Element. C’est un peu comme celle des cartes bancaires. En réalité, vos clés cryptographiques, ils sont enfermés de manière chiffrée. Et pour initier un paiement crypto ou prouver votre identité, vous avez à connecter le nano à votre téléphone, votre PC. Vous allez valider l’opération sur l’écran en entrant votre code PIN pin et la signature numérique est calculée dans la puce sans jamais exploser la la clé secrète parce que vous avez une clé publique et une clé secrète. C’est comme un caden inviolable en réalité. Si un hackur pirate votre ordinateur, il ne va pas pouvoir voler vos cryptos dans ce petit appareil physique. Et pour bien faire, si on perd ce petit appareil physique, parce que pour des gens étourdis comme moi, ça peut arriver très facilement, il y a même une carte de sécurité qui va vous permettre de retrouver, vous avez droit jusqu’à 24 mots pour vous identifier. ces ces cartes, vous pouvez en avoir autant que vous voulez et pour jamais perdre votre portefeuille parce que ça arrivé par le passé, on sait que on peut lorsqu’on perd certains portefeuilles numériques perdre toute sa fortune et la volonté et c’est là où on rejoint le sujet de l’identification numérique, la volonté entre autres de cette direction de ledger de Pascal Gautier ou encore de Sébastien Badeau et bien c’est d’aller vers une identification numérique, c’est-à-dire un petit peu comme la volonté qu’on certains pays, notamment le Kenya ou le Ghana, d’avoir un identifiant unique qui permet de de sécuriser vos actions. Et cette semaine, vous avez donc visité le donjon de cette entreprise, centre de sécurité assez mystérieux où il y a des hackurs à l’intérieur. C’est ça. Ça ressemble à quoi ? Ouais, c’est alors j’ai pris quelques photos que qu’on va pouvoir voir à l’écran. On est un petit peu dans un pas dérobé, on espère. Pas pas dérobé en part. Non non, j’ai j’ai tout fait de manière légale, mais effectivement, on se retrouve un petit peu comme dans un film de science-fiction où vous avez des hackerss éthiques, c’est-à-dire que ce sont des hackerss qui vont agir pour la bonne cause et qui vont tester en permanence la robustesse de ces fameux portefeuilles numériques. Cette équipe, elle est dirigée par une star du secteur qui s’appelle Charles Guimet qui veut notamment attaquer ses propres produits comme le ferait un pirate. C’est-à-dire que vous allez retrouver dans ce dans ce bunker high-tech parce que il faut montrer p paste blanche pour y rentrer et bien des ossoscopes, des lasers également énormément de les lasers sont très importants. Je vais je vais revenir dessus là-dessus des fraiseuses de précision pour décapsuler des circuits afin d’étudier ou tenter de modifier le matériel. Des injections par laser. En fait, c’est une technique, ça c’est très important et très intéressant. C’est une technique qui va consister à envoyer des impulsions laser ciblées pour créer des bugs et compromettre l’isolation des secure elements. C’est-à-dire qu’on voit bien qu’il y a un jeu de chez la souris, même quand on a des solutions les plus robustes. Et ce qui est assez intéressant c’est qu’on voit aussi un all of fame. Alors c’est de bonnes guerres parce que bien sûr il y a quand même des concurrents à Ledger, je vais en citer quelques-uns comme One Key, Safep ou encore Trust Wallet et Kip Key. Et bien euh dans ce dans ce bunker, vous avez toutes les les failles qui ont été trouvées par l’équipe un tout petit peu comme un trophée de de chasse tout simplement. Et j’ai envie de vous faire écouter très rapidement certains membres de l’équipe qui témoignent à à visage couvert. Cette fois-ci, chaque projet est un défi. Le but, c’est de d’arriver à contourner les protections d’un circuit qui a été conçu pour résister aux attaques. Trouver un moyen de détourner, de les exploiter, c’est assez challengeant. Et puis on va passer à des attaques plus compliquées avec des gros moyens financiers. par exemple une attaque avec un rayon laser. On va vous montrer comment faire des frappes chirurgicales sur une puce électronique ou des attaques plus évoluées comme l’injection de faute électromagnétique. Bon, les innovations sont là, on l’a bien vu. Mais il faut le dire aussi, le monde de la crypto, il a des limites et surtout un impact sur l’environnement. Oui, c’est ça. C’est-à-dire que la promesse de la blockchain, on en a parlé tout à l’heure, ce fameux réjist centralisé, il est absolument gigantesque. Il peut être très important notamment pour les flux financier, mais aussi certifié, hein, des identités numériques, par exemple pour des votes à l’avenir, pour certifier que c’est la bonne personne qui vote. Mais le Bitcoin, qui est des applications les plus célèbres et bien il va euh il va utiliser à lui seul un niveau comparable de consommation électrique d’un pays comme la Pologne. C’est l’École polytechnique qui nous rappelle ça. Cela é entre 77 et 96 millions de tonnes de CO2 par an sans compter et bien les déchets électroniques des différents appareils comme on l’a vu qui peuvent être utilisés. En réalité euh sans rentrer trop dans la technique, on va essayer et il y a beaucoup de chercheurs qui travaillent là-dessus de passer euh de du d’une preuve de travail, le proof of work ou proof of stake qui doit consommer beaucoup moins euh d’énergie à l’avenir. Donc ça c’est quand même des initiatives euh très intéressantes et Ledger entre autres mène des initiatives pour compenser cette empreinte de produit dans l’environnement et privilégier aussi la durabilité du matériel. Mais c’est un véritable combat. Il faut faire très attention de pas trop glorifier la blockchain ou en tout cas d’en avoir une utilisation toujours plus intéressante et de reposer davantage sur les chercheurs. Bon, il y a aussi d’autres technologies d’authentification novatrice comme Orb. Elle est soutenue par un certain Salme Hatman, une star du milieu. Vous pouvez nous expliquer ce qu’est Corb et en quoi il diffère de la crypto ? Oui, c’est difficile de de passer une semaine sans parler de Samman. Donc effectivement le co-créateur de d’openir, la maison mer de chat GPT. Ici, Orb va scanner l’iris pour créer une identité numérique unique sous forme d’un Iris code inviolable normalement qui va permettre de prouver que l’utilisateur est un humain et donc lutter contre c’est ce qu’explique Samaltman les les robots les les bottes. Tout est dans le normalement. Oui, tout est dans le normalement. C’est c’estàdire que ça s’appuie aussi en réalité sur Worldcoin. C’est un gros globe argenté. Moi, j’avais pu le tester. Ça fait un peu peur tout simplement. En gros, on va regarder dans l’appareil quelques secondes, il va photographier les motifs de votre Iris et va les transformer en un code numérique unique de 12800 bit qui va servir ensuite de preuve que vous êtes un humain unique. Alors effectivement, la promesse là aussi, elle est très belle mais ça pose beaucoup de questions notamment de de sécurité, de vie privée, c’est-à-dire que vous abandonnez une toute petite partie de votre biométrie, de votre intégrité Florent. Et ça ça fait peur. Il y a plusieurs pays, notamment le Kenya qui ont posé beaucoup de questions, qui ont arrêté un peu les expérimentations. Ça va pas aussi vite que prévu, j’ai envie de dire. Tant mieux parce que on n’ pas besoin peut-être euh c’est c’est important d’avoir son intégrité physique de de travailler sur la sécurité mais si on peut épargner d’avoir à donner ses propres données biologiques, et bien on peut peut-être je pense trouver d’autres solutions plus sécurisantes et et là les les chercheurs du monde entier planchent là-dessus et ça nous fait penser notamment à un film comme Minority Report. Ah bah bien sûr publié il a déjà plus d’une vingtaine d’années. Et c’est ça qui est dingue en ce moment avec la science-fiction, c’est que on voit qu’on la dépasse quasiment de jour en jour. Alors, faut faut rester extrêmement vigilant, c’est-à-dire prendre le meilleur comme on en parlait tout à l’heure sur la médecine ou les prévisions de catastrophe, mais rester très vigilant en tout cas sur les données qu’on peut partager avec les technologies. C’est le message de la journée lancée par Guillaume Gralé. Merci Guillaume pour votre chronique tech

À l’ère de l’intelligence artificielle (IA) générative, le contenu numérique explose, créant un surplus d’informations difficiles à vérifier, qu’il s’agisse de vidéos truquées avec des célébrités ou de fausses identités en ligne. Des entreprises s’appuient sur la crypto pour créer une identité numérique. C’est le cas de la start-up française Ledger, qui s’appuie sur le “donjon” : un espace dans lequel les hackers simulent des attaques pour révéler les vulnérabilités pour mieux les corriger.
#IA #Crypto #Bitcoin

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15 comments
  1. @4:15 "brute force".. Il y a quasi 2^256 possibilités. Ca doit etre proche du nombre de particules dans l'univers porté a la puissance 150 🤣

  2. L'IA va tuer Youtube car les gens veulent voir de video avec de vrais images tournées dans le réel

  3. N'importe quoi, l'introduction a rien à voir avec le sujet principal. On voit que c'est des gens qui y connaissent rien qui ont écrit cette rubrique

  4. Le mec raconte n'importe quoi, les deux sujets n'ont rien à voir. On dirait un gars qui a écris un exposé sur un sujet qu'il ne connait pas

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