«C’est un changement de taille dans le secteur de l’or et il faut le saluer.» Ainsi parle Marc Ummel, enquêteur de l’ONG Swissaid dans un entretien accordé lundi au Temps à la suite de l’annonce, la semaine dernière, selon laquelle l’Association suisse des métaux précieux (ASMP) publiera en janvier un registre numérique pour montrer d’où vient l’or importé en Suisse.

L’outil divulguera le nom des mines – industrielles et artisanales – et des fournisseurs pour l’or minier, et le pays d’origine pour celui qui a été refondu. Il n’indiquera par contre pas quelle raffinerie travaille avec quel fournisseur, les données étant agrégées.