“Avatar 3” : top ou flop ? • FRANCE 24

[musique] Nós descobrimos uma uma nova passagem a [musique] Le retour d’Avatar 3è volet de la saga la plus vue de tous les temps sur grand écran. Magélan, un biopic porté par Gael Garcia Bernal dans la peau du célèbre navigateur portugais. Enfin l’agent secret, l’un des films les plus célébrés du festival de Cann 2025. C’est le programme de notre émission 100 % cinéma comme chaque mercredi avec Thomas Boris. Bonjour à toutes et à tous. Et bonjour Thomas. Bonjour Nina. On commence par Avatar 3. Donc 3e volet du plus grand succès de l’histoire du cinéma. 3 ans après la voix de l’eau, James Cameron poursuit sa fresque monumentale sur la planète Pandora avec Avatar de feu et de cendre. Voilà. Et tout a débuté en fait en en 2009 avec le premier Avatar. Révolution technologique à l’heure où l’on croyait encore que la 3D sauverait le cinéma dans les salles. Le combat continue. Voilà. En réalité, il faut savoir que James Cameron, il avait pensé à cette saga de science-fiction au début des années 90 et il pensait même le réaliser juste après l’énorme succès de son Titanic à la fin de la même décennie, sauf qu’il jugeait que la technologie n’était pas encore suffisamment avancée pour le faire, dont acte. Alors pour celles et ceux qui ne sauraient pas de quoi on parle, ils sont peu nombreux. Avatar se déroule dans un futur pas trop proche et raconte la façon don dont les humains tentent de prendre possession d’un précieux minerai sur la planète Pandora. Vous l’avez cité. Alors, Pandora, c’est une sorte d’Eden où les habitants, les Névis vivent en harmonie parfaite avec la nature. Alors, les avatars, en fait, ce sont des humains qui euh peuvent s’incarner en Éve pour se fondre avec la population locale. C’est le cas notamment du héros de cette aventure, l’ancien Marine Jack Skully dont on suit les aventures. Jack Skully, c’est l’acteur Sam Wathington. Voilà, vous l’avez dit, 2 ans après avatar, la voix de l’eau, voici donc venu le temps des cendres et du feu. Regardez. You want to spread your fire. Cross the world. You need me. James Cameron dont le cinéma visionnaire avance comme toujours main dans la main avec les nouvelles technologies. vous l’avez dit Thomas et les dangers aussi qui leur sont associés. Il s’est exprimé d’ailleurs à ce sujet. Écoutez ce que j’essaie de faire avec tous les films Avatar et en particulier avec celui-ci, c’est de créer un lien avec les gens du monde entier. Et tellement de personnes ont le sentiment de ne pas être vu. Elles se disent “Persne ne sait ce qu’il y a à l’intérieur de moi. On se sent plus déconnecté les uns des autres que jamais. Est-ce que la technologie joue un rôle là-dedans ? Estce que l’ampleur de notre expansion mondiale et toutes les tensions géopolitiques qui contribuent. Est-ce que l’immigration et les déplacements de population ont aussi un rôle ? La peur, il y a tellement de choses qui font peur et qui nous rendent anxieux aujourd’hui. Ça crée une mentalité du nous contre eux, n’est-ce pas ? Voilà. Ce qui est fascinant avec James Cameron, c’est que c’est vraiment un explorateur et découvertur de de monde inconnu. Il est il reste quand même un cinéaste de l’air classique, même si il avance avec la nouvelle technologie, il l’habille de la nouvelle technologie. Et ce qui est intéressant, c’est la manière à l’image de son Terminator, ces films des années 90, comment un extraterrestre essaie de s’adapter à un nouvel environnement. En l’occurrence là-bas, la planète Terre, là c’est l’inverse he, c’est des humains qui essaient de se familiariser avec Pandora. Moi ce que j’aime bien dans les deux premiers volets, c’est qu’à chaque fois on découvrait de nouveaux territoires au sein de cette planète. Moi ce qu’il m’a un peu déçu, même grandement déçu dans ce trisème volet, c’est que l’histoire patine. Moi, je pensais voir un selon le titre un grand embrassement perpétuel et on reste là où on était avec la voix de l’eau et on a l’impression que les personnages hésitent un peu à avancer, cherchent un petit peu la porte de sortie qu’il emmènerait ailleurs. Du coup, on a quand même 3h25, moi où j’ai l’impression d’un peu de sur place. Il n’empêche quand même faut pas de bouder son plaisir. La technologie est là et il y a un final opératique comme à chaque fois assez bluffant. Oui mais faut dire que vous étiez tellement ditambique sur le second volc vous pouviez être que des vent laision de mes attentes. On est d’accord. Euh explorer des terres inconnues. C’était déjà le crédau du grand navigateur portugais magélanga Garcia Bernal prend ses traits dans le film du même nom du cinéaste philippin Laviaz. Voilà Laviaz. Fernand de Magélan né en 1480 mort en 421. Bon, je sais pas ça par cœur he j’ai mes notes he pour avait pour but en fait de poursuivre ce que Christophe Colomb et ben n’avait pas pu achever et ainsi tracer une route vers les Indes orientales et parvenir à dépasser l’océan Atlantique. Voilà pour Magélan ce qu’il va réussir d’ailleurs très bien et on lui doit notamment le baptême de l’océan Pacifique qu’il traverse jusqu’à rejoindre donc les actuelles îles philippines. On parle des Philippines puisque l’Avdéas, pardon, le réalisateur est Philippin lui-même et on va suivre donc les différentes euh tentatives euh euh de ce personnage et de son rapport brutal, c’est un ophémisme, aux populations indigènes qu’il cherchera à évangéliser au risque de se perdre lui-même. Nós descobrimos uma uma nova passagem, uma nova rota, uma vamos a falar com mais dinheiro e mais poder para mais território para Portugal conversas cristias. [musique] Magélan était portugais. Il a d’abord proposé cette expédition à la couronne portugaise et il a été complètement éconduit. Il est donc allé en Espagne devenant un traître Portugal et beaucoup de problèmes en ont découlé. C’était une expédition de découverte, une expédition spirituelle que nous ne pouvons plus vraiment comprendre aujourd’hui parce qu’elle reposait entièrement sur la voilà, on a entendu Gael Gassier Bernal qui était au micro de F. Jackson et qui nous parlait donc de son personnage, mais ça vous l’aurez compris. Oui, ça c’était pendant le festival de Cann 2025. Qu’est-ce qui vous fascine Thomas euh dans le cinéma Philippin Laviaz justement ? Alors lui, il est adepte du cinéma aux très long cours, hein. Ses films sont en général à rallonge. Ce magan ne dure que 2h43, ce qui n’est rien pour lui. C’est un court-métrage et puis qui n’est rien à côté des 3h17 précisément de Avatar dont on vient de parler. Euh pour là, pourtant là aussi comme dans Avatar, on voit du pays et lui aussi la Via, c’est un explorateur, il le montre avec cette donc je l’ai dit adepte du ton long. C’est des cadres très précis, souvent fixes, voir que fixes, où comme ça cette sublime précision ouvre des fenêtres vraiment sur des horizons à la pureté euh virginale. Vraiment, c’est aux êtres et aux choses et nous aussi spectateurs d’éprouver la puissance à chaque fois de ces cadres saisissants. Et cette beauté picturale, elle est pas euh euh c’est pas c’est pas gadget hein. Ça ne produit jamais de vertige bricolés. Mais au contraire euh ça essayer ça essaie et bien de sonder tous les mystères et la brutalité aussi de cette épopée. C’est très beau et à travers ça l’avd et ben parle du présent et parle encore de la façon dont on traite les populations étrangères. Voilà donc il est vraiment contemporain avec ce magélant qu’il est moins de fête. Alors, autre film présenté à Cann. Thomas, direction le Brésil, cette fois sous la dictature militaire en 1977 à travers l’itinéraire d’un homme qui semble pris dans les rouages d’une chasse à l’homme entre thriller oppressant, film d’espionnage et puzzle mental. C’est l’agent secret de Clébert Mendon Philoto. On va regarder la pandannonce. [musique] Bon Thomas, je crois que vous avez été plus que conquis. Oui. Et Décan d’ailleurs où on espérait que le film obtiendrait la palme d’or. C’est Jaffar Panaï, on le sait he qu’il a qu’il a obtenu. Il est reparti quand même avec deux médailles, ce qui est pas mal. Euh un prix d’interprétation masculine pour Wagner Moura et un prix de la mise en scène. Les deux sont amplement euh mérités. Il aurait pu obtenir aussi celui du scénario parce que c’est un scénario vraiment à tiroir euh qui dévoile ses cartes presque à rebour. Il faut vraiment euh assumer euh ben de rester et d’essayer de de d’avancer presque avec les yeux bandés. Il y a comme ça, on est dans les méandres en fait de la dictature militaire du Brésil et donc justement cette incertitude tant à ce qui se passe, on est vraiment en diapason des personnages. D’ailleurs, ce film fait écho un autre film récent qui a était formidable aussi, brésilien, Walter Salè, je suis toujours là, qui avait déjà avant lui ravivé donc ce Brésil des 70 sous le jou de la dictature militaire. Euh Robert Clébert, pardon. Mendonça Filot est un cinéaste qu’on suit depuis longtemps les bruits de Récifé, Aquarius ou encore Booao. Et à chaque fois, c’est la ville de Récifé qui devient le théâtre de son inspiration géniale. Et et là, sa mise en scène ample et complexe et bien elle avance toujours dans cette ville de Récifé, cette fois maquillée aux couleurs 70s avec une bande son géniale. On va l’écouter le réalisateur nous parler. justement de ce traitement de l’époque des années 70 sur sa ville. C’était au micro au micro pardon encore de F. Jackson et encore au merci F. Jaon. Quelle chance. Je pense que la première chose a été d’essayer de faire un exercice de mise en scène cinématographique, de remonter le temps. Vous voyez, quand on réalise un film d’époque, c’est un exercice particulier. On joue avec les décors, les objets, les voitures, les textures de l’époque, le rythme de la parole et certains mots qui aujourd’hui ont disparu mais qui étit utilisés à l’époque. Tout cela, je voulais en faire une sorte de tableau historique issu de mes propres souvenirs. J’étais un petit enfant à ce moment-là. Voilà pour le coup de cœur de Thomas cette semaine. On termine avec le film d’animation britannique La fabrique des monstres signé Stevson et Toby Jenkel. Thomas, voilà, les fans de Tim Burton adoreront ce petit personnage. Petit cousu qui est un jeune héros à la tête ronde comme une balle de baseball avec ses coutures apparentes. Il y a aussi le mythe de Frankenstein de Marie Chelley qui est ravivé ici et aussi Pinocchio. Voilà, trois en un pour ce formidable film d’animation. Voilà, un film parfait pour les enfants en cette période de fête. Merci Thomas Borz, on vous retrouve l’année prochaine sur notre antenne et on se quitte avec des images de ces monstres pas si effrayants et même plutôt attachants. Regardez. Oh, c’est un château. C’est ici que tu vas dormir. Créature, je te présente les monstres. Salut. Il faut aller dormir maintenant. Une histoire. C’est la cloche. Ça veut dire qu’il y a quelqu’un. Je promets de faire de toi une star célébrissime. Donne-moi la main. Êtes-vous prêt pour les monstres ?

Au programme de cette émission 100 % cinéma de “À l’Affiche !” : le retour de la saga la plus attendue de l’année avec “Avatar : de feu et de cendres”, troisième volet du plus grand succès de l’histoire du cinéma, “Magellan” un biopic porté par Gaël Garcia Bernal dans la peau du célèbre navigateur portugais, et  “L’agent secret”, l’un des films les plus célébrés du Festival de Cannes 2025. 
#Avatar3 #L’agentsecret #cinémabrésilien

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10 comments
  1. Faites un effort quand vous présentez un sujet, s'il vous plait:
    1- C'est Naavi et non "Névi"
    2- C'est Jake Sully et non "Scully" (on est pas dans Xfiles).
    Merci!

  2. Avatar une œuvre française pillée par les anglo-saxons comme souvent… La BD Aqua Blue de Cailleteau, un peuple indigène à la peau bleue, en symbiose avec la nature océanique de sa planète, et une méchante corporation terrestre qui vient piller les ressources naturelles avec des gros engins et des mécas… ça vous dit quelque-chose non ?

  3. La fusion entre le monde des humains et celui des djinns version cinéma. Cette fusion aura bien lieu, et ils nous y préparent.

  4. 3 heures 25 pour Avatar 3 , le deuxième avatar je l'ai trouvé trop long au cinéma.
    Ça me donne pas l'envie d'aller le voir au cinéma…

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