Ben, pas tres étonnant dans un état policier… Impunité pour les batards et leurs meurtres quoi…
Ho non on a pu le droit de faire des généralités insultantes 🙁 /s
« ACAB » c’est pas de la critique c’est juste de l’insulte pure est simple…
Que l’on sanctionne ce genre de propos est tout à fait compréhensible, mais effectivement interdire la critique CONSTRUCTIVE de la police c’est inadmissible.
Ps je n’ai pas accès a l’article donc ne peut pas savoir ce qui se passe.
C’est très bien, comme ça on a une très claire lisibilité sur les étapes qui sont franchies les unes après les autres.
– on ne peut plus critiquer la police.
– on ne peut plus critiquer les méthodes du ministère de l’intérieur
– on ne peut plus critiquer le ministère de l’intérieur
– on ne peut plus critiquer un ministère
– on ne peut plus critiquer le gouvernement.
Et juste comme ça, petit à petit on arrive dans une situation où critiquer le pouvoir devient passible de sanctions et ça s’appelle une dictature.
Alors j’entends déjà les commentaires ” mais nooooon, tu fais de la réduction a l’absurde, on en arrivera jamais là , et puis les gens ne laisseront pas ça se faire.” Sauf que: cette n-ième étape est déjà du côté de l’inacceptable, et ça passe crème. Quand les gens voudront éventuellement se révolter contre la dernière, il n’y aura plus de garde-fou contre une police barbare qui agit en toute impunité, autant dire que ce sera perdu d’avance.
On peut changer le titre malhonnête de Mediapart ?
Le gouvernement réprime les généralités stupides et ignobles qui mettent en cause l’ensemble de la police.
5 comments
Ben, pas tres étonnant dans un état policier… Impunité pour les batards et leurs meurtres quoi…
Ho non on a pu le droit de faire des généralités insultantes 🙁 /s
« ACAB » c’est pas de la critique c’est juste de l’insulte pure est simple…
Que l’on sanctionne ce genre de propos est tout à fait compréhensible, mais effectivement interdire la critique CONSTRUCTIVE de la police c’est inadmissible.
Ps je n’ai pas accès a l’article donc ne peut pas savoir ce qui se passe.
C’est très bien, comme ça on a une très claire lisibilité sur les étapes qui sont franchies les unes après les autres.
– on ne peut plus critiquer la police.
– on ne peut plus critiquer les méthodes du ministère de l’intérieur
– on ne peut plus critiquer le ministère de l’intérieur
– on ne peut plus critiquer un ministère
– on ne peut plus critiquer le gouvernement.
Et juste comme ça, petit à petit on arrive dans une situation où critiquer le pouvoir devient passible de sanctions et ça s’appelle une dictature.
Alors j’entends déjà les commentaires ” mais nooooon, tu fais de la réduction a l’absurde, on en arrivera jamais là , et puis les gens ne laisseront pas ça se faire.” Sauf que: cette n-ième étape est déjà du côté de l’inacceptable, et ça passe crème. Quand les gens voudront éventuellement se révolter contre la dernière, il n’y aura plus de garde-fou contre une police barbare qui agit en toute impunité, autant dire que ce sera perdu d’avance.
On peut changer le titre malhonnête de Mediapart ?
Le gouvernement réprime les généralités stupides et ignobles qui mettent en cause l’ensemble de la police.
Et il a bien raison.
Acab
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