Malgré une meilleure compréhension des risques climatiques, la Belgique reste peu préparée. Les canicules, avec des surmortalités croissantes, menacent les plus vulnérables. Les mesures actuelles, souvent dispersées, manquent de cohérence et d’application systématique.
Article réservé aux abonnés
Chef adjoint du pôle Planète
Par Michel De Muelenaere
Publié le 11/11/2024 à 18:30
Temps de lecture: 2 min
div {
margin: 16px;
max-width: calc(100% – 32px);
}
]]>
Résumé de l’article
Résumé par IA, vérifié par la Rédaction
– La Belgique est mal préparée aux risques climatiques malgré une meilleure compréhension des dangers.
– Les canicules causent une surmortalité croissante, touchant particulièrement les plus vulnérables.
– Alors que les alertes se multiplient, les mesures actuelles manquent de cohérence et d’application systématique.
– Les villes sont particulièrement à risque, avec des températures nocturnes plus élevées que la campagne.
Le constat est tombé, au niveau européen, au printemps dernier : malgré une compréhension de plus en plus fine des risques posés par le changement climatique en Europe, « la société reste peu préparée » à ces menaces. « La mise en œuvre des politiques accuse un retard considérable par comparaison avec la hausse rapide des niveaux de risque. » Des mesures « coordonnées et urgentes doivent être mises en place à tous les niveaux ». C’est l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) qui l’observe dans sa première et volumineuse « Evaluation européenne des risques climatiques ».
Cet article est réservé aux abonnés
Accédez à l’information nationale et internationale vérifiée et décryptée
1€/semaine pendant 4 semaines (sans engagement)
L’accès illimité à tous les articles, dossiers et reportages de la rédaction
Le journal en version numérique (PDF)
Un confort de lecture avec publicité limitée