Bruno Retailleau recadré en direct par un magistrat sur l’affaire Doualemn (et sur un récent vote)

3 comments

1. >[L]e patron de la Place Beauvau a botté en touche ce mercredi matin, expliquant « *ça m’étonne, mais peu importe.* »

   Bah non, pas peu importe mon Nono, au contraire, ça importe vachement vu que ça prouve que tu es trop incompétent pour comprendre les conséquences des lois que tu prônes et que tu votes. Pas peu importe parce c’est la preuve que tu es nul, que tu as toujours été un nul et que tu le resteras. C’est la faute des ministres piaillais-tu quand tu étais législateur, il faut changer la loi. Législateur, tu as changé la loi. Puis devenu ministre tu brames, c’est la faute des juges et des législateurs. Ce qui prouve bien que comme ton 1er ministre tu es un minable, Bruno, et sans doute légèrement déficient mentalement (ce qui n’a jamais posé problème il est vrai chez les LR, entre Wauquiez et Morano, c’est comme qui dirait un atout sur le CV). Pas peu importe, mon Nono, parce que ça signifie que tu n’as même pas les facultés intellectuelles pour garder le minimum de cohérence que requiert l’offre politique nauséabonde que tu prétends proposer. Ta nullité crasse était déjà pas jojo, ça commence à lorgner sur le brun pour taquiner l’électorat poujado-raciste, mais en plus ton incompétence va alimenter le vote RN, bien joué ! Mon pauv’ Nono, tu seras jamais président, ni des LR, ni de rien du tout en fait, n’en déplaise à tes ambitions autocratiques de “sortir de l’état de droit”. Hein, mon Nono, t’as pas fait exprès ce jour là, peut-être…

   Bordel, ok, d’accord, j’avoue, j’ai toujours haï la droite. Mais la bêtise nue… je suis à deux doigts d’avouer qu’ils me font pitié.

2. Typique de cette frange politique misant sur l’absence de connaissance de sa base électorale et sur la puissance de l’émotivité et de la haine.

3. Merde, Bruno, merde, c’est quoi cette réponse de fragile !? On avait bossé pourtant, c’est facile, une intervention embarassante = une réplique en 3 temps !

   1. Meubler avec des phrases bateau pour prendre le temps de réfléchir. *Je remercie votre auditeur pour son intervention, et votre antenne qui donne la parole à tout le monde. Ca fait partie de la démocratie, c’est la liberté d’opinion*

   2. Noyer le poisson. *Je ne peux évidemment pas connaître par cœur tous les textes, toutes les lois et les jugements de ce pays. Je vais donc demander à mes équipes de me préparer une note sur ce cas spécifique*

   3. Relancer sur une autre affaire-diversion. *D’ailleurs je suis beaucoup + préoccupé par le meurtre terrible de la jeune Louise, l’insécurité dans ce pays est un combat de tous les jours, et je veux dire aux français que je me tiens à leur côté, face au camp du crime*

   Allez, 6/20, tu me potasses ça et en attendant je te programme un passage sur BFM, ils vont moins te malmener que ces gauchistes d’Inter

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