«Ce que dit Macron, je n’en ai rien à cirer»: ces grands patrons français ulcérés par l’appel à suspendre les investissements aux États-Unis
by chou-coco
«Ce que dit Macron, je n’en ai rien à cirer»: ces grands patrons français ulcérés par l’appel à suspendre les investissements aux États-Unis
by chou-coco
5 comments
[« Certains d’entre nous sont tombés de leur chaise », confie l’un des quelque 50 dirigeants d’entreprises français invités jeudi en fin d’après-midi à l’Élysée.](https://archive.is/cCS7o#selection-2245.0-2247.108)
Les fameux “premiers de cordée”, toujours prêts à lâcher les autres dans le ravin si ça peut leur garantir une meilleure vue en haut de la montagne.
Les bourgeois préfèrent assurer leur statut social et leur profit personnel que faire preuve de solidarité et agir pour le bien commun: Rien de nouveau sous le libéralisme.
Donc il faut supprimer subvention pur et simple.
>*Nous suggérons une approche duale : des contre-mesures commerciales bien calibrées et une réponse de compétitivité déclinée en un choc de productivité, un choc de compétitivité interne et un choc de compétitivité externe. »*
Après les aides massives déployées post-COVID, entendre parler de nouveaux besoins de soutien pour la compétitivité des grands groupes soulève des questions sur l’allocation des ressources publiques et les priorités.
Si renforcer notre économie est essentiel, comment s’assurer que ces aides ou mesures bénéficient à l’ensemble de l’écosystème, y compris les PME, et qu’elles s’accompagnent d’un engagement clair des grands bénéficiaires en matière de contribution fiscale en France ?
Il est crucial de distinguer les entreprises qui investissent durablement sur le territoire et s’acquittent de leurs impôts, de celles dont les stratégies d’optimisation interrogent.
Qu’ils remboursent les aides qu’ils ont eu.
Comments are closed.