Une menace entendue par Vladimir Poutine, mais ignorée. Le président russe a proposé des négociations directes avec Kiev le 15 mai, à Istanbul. Volodymyr Zelensky, pour qui toute discussion doit débuter par un cessez-le-feu, a refusé. Emmanuel Macron a qualifié la proposition russe de « premier mouvement pas suffisant », relevant chez son homologue russe « la volonté de gagner du temps ». Déjà sous la pression de plusieurs sanctions, la Russie pourrait donc en subir de nouvelles.