L’action, organisée en collaboration avec le parquet de Bruxelles, l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca), l’Office national de sécurité sociale (ONSS), l’Agence fédérale des médicaments et des produits de santé (AFMPS) et le SPF Finances, visait principalement à détecter la vente illégale de poppers, de médicaments et de substances stimulantes. Selon la police, plusieurs infractions ont été constatées : vente de stupéfiants (poppers), de viagra et autres dérivés (Kamagra, etc.), et de compléments alimentaires contenant du Sildenafil et du Tadalafil (miel stimulant, etc.).

Lors des perquisitions, 29.394,45 euros en liquide ont été saisis. Cinq de ces sexshops avaient déjà fait l’objet d’un contrôle policier le 27 juillet. L’opération de mercredi a également donné lieu à cinq perquisitions à domicile. Les six établissements fermés l’ont été par décision judiciaire, principalement boulevard Adolphe Max.