Gabon : le procès de Sylvia et Noureddin Bongo prévu en novembre • FRANCE 24

Et à présent, ce bras de fer judiciaire entre le Gabon, l’ex-première dame Sylvia Bongo et Nouredine son fils. Leur procès pour détournement de fonds public doit s’ouvrir le 10 novembre à Libreville. Mais les deux principaux accusés, actuellement en liberté provisoire à Londres, ont annoncé qu’ils ne se présenteront pas à ce qu’il qualifire de justice, un acte de défiance pour les autorités judiciaires gabonaises. Les explications de notre correspondant à Libreville, Ismaël Obanzé. Tout commence par une déclaration choc de la défense. L’un des avocats de la famille Bongo maître Pierre Olivier a été très clair. On ne peut pas attendre de Sylvia Bongo et de Nouridine qu’il retourne sous la garde de leur torsionnaire à Libreville. Plus simplement, ils ne seront pas présents à leur procès. En rappel, l’ex-première dame du Gabon et son fils sont poursuivi entre autres pour détournement de fonds public. Ils font partie d’un dossier plus large qui vise 12 accusés. Une audience pour auteur de crime financier et économique devons les entendre est prévue dans moins de 2 semaines au Gabon. Mais les principaux intéressés sont à Londres depuis mai dernier. Il bénéficient d’une liberté provisoire pour des raisons médicales. Les autorités judiciaire affirment avoir mis tout en œuvre pour les convoquer. Mais selon le parquet de Libreville, le cabinet d’avocat de la famille Bongo aurait refusé de recevoir la citation. Qu’il soit présent ou pas, ils seront jugés. Et si la cour prononçait à leur encontre des mandats d’arrêt, nous allons utiliser les voix de droit. pour les faire exécuter pour faire exécuter ces mandats d’arrêt. La voie de droit évoquée par le procureur général s’appuyerait vraisemblablement sur une convention d’entraide judiciaire pour tenter une extradition des prévenus depuis le Royaume-Uni. Le parquet de Libreville assure vouloir tenir un procès juste et équitable. Mais la famille Bongo en doute.

Bras de fer judiciaire entre le Gabon, l’ex-première dame Sylvia Bongo et Noureddine, son fils. Leur procès pour détournement de fonds publics doit s’ouvrir le 10 novembre à Libreville. Mais les deux principaux accusés, actuellement en liberté provisoire à Londres, ont annoncé qu’ils ne se présenteront pas à ce qu’ils qualifient de « simulacre de justice ». Un acte de défiance pour les autorités judiciaires gabonaises. Les explications de notre correspondant à Libreville, Ismaël Obiang Nze.
#Gabon #Justice #Afrique

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8 comments
  1. On prend les gabonais pour moins que rien. Ce président qui est de leur famille les a laissés partir volontairement se cacher à l’étranger. On savait très bien qu’ils n’allaient pas revenir. Tout ça est un simulacre de poursuite judiciaire. Un pays de moins de deux millions d’habitants et toutes les richesses naturelles n’arrive pas développer à un niveau appréciable, c’est lamentable.

  2. Le théâtre et cirque africain vous libérez les auteur et vous voulez nous bernée d'un procès juste pour endormir le peuple et nous dire nous l'affaire est clos
    En attendra les mandats d'arrêt international

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