Depuis une semaine, les cadeaux pleuvent. Il y a eu, d’abord, cette soirée d’ouverture avec Kamel Daoud, puis un « concert dessiné » avec Aurel et le contrebassiste Renaud Garcia-Fons, enfin ce récital célébrant le grand écrivain occitan Max Rouquette – dont les textes viennent d’être réunis par Bruno Doucey dans l’anthologie L’Ombre messagère et autres moissons de poèmes.

Pour célébrer la 40e édition de la Comédie du livre, son directeur littéraire et artistique, Régis Penalva, a misé « sur la fidélité et l’amitié » des habitués : les maisons d’édition Au Diable Vauvert, Zoé et d’anciennes cartes blanches – Alice Zeniter, Mathias Énard, Maylis de Kerangal.

Samedi 17 mai, l’auteure de Réparer les vivants proposera une soirée littéraire et musicale sur le thème des villes avec Roderick Cox, chef de l’Orchestre national de Montpellier. Sur les notes de Serenade de Leonard Bernstein et de la Ve de Beethoven, elle lira plusieurs textes, dont un qu’elle a écrit pour l’occasion. Roderick Cox déclamera lui aussi un poème, sur sa ville natale de Macon, en Géorgie.

Depuis 2024, le Grand Prix de l’imaginaire

Vendredi 16, samedi 17 et dimanche 18 mai, la promenade du Peyrou sera le cadre d’une exposition de photos retraçant les temps forts de la Comédie, créée en 1986 par la journaliste Mia Romero (déjà fondatrice du Livre sur la place à Nancy). On y verra descendre de l’avion les membres de l’Académie Goncourt (Hervé Bazin, Robert Sabatier, Edmonde Charles-Roux…) avant […] Lire la suite