Si la France était un livre, Louis Sarkozy y verrait sans hésiter « Les Misérables. Parce que le français est langue de Victor Hugo plus que de Molière. Que tout ce qui est insupportable en nous, c’est Javert, de plus méchant, ce sont les Thénardier, de plus sublime, c’est Jean Valjean et de plus féminin, c’est Cosette. Ce livre fait la taille de l’Hexagone. » Alors le fils de Nicolas Sarkozy et Cécilia Attias le feuillette, parcourant ses librairies et ses salles des fêtes pour y dédicacer « Napoléon Bonaparte, l’empire des livres« (Ed Passés/Composés).
Un travail solide, très documenté, sur un homme dans lequel chacun de nous pourrait se retrouver. « Il était l’archétype de tout, la férocité et l’humilité, le pire et le meilleur, il est l’immensité de l’histoire », s’enthousiasme le jeune homme de 28 ans qui, après avoir vécu une douzaine d’années aux États-Unis, est revenu en France il y a un an.