Posted On 16 mai 2025
À moins d’un an des élections municipales, le collectif « Réconcilier Grenoble » a présenté 30 personnalités grenobloises qui s’engagent pour le changement et appellent à la candidature d’Alain Carignon, ouvrant la porte à une alternative en capacité de l’emporter.
Le collectif « Réconcilier Grenoble », réuni lundi soir.
FACE À LA CRISE …
À l’origine de ce collectif, un constat : avec Eric Piolle, Grenoble va mal. Toutes les données le montrent, que ce soit au niveau financier (1ère grande ville pour les impôts), au niveau sécuritaire (1ère des grandes villes pour la délinquance), au niveau social (une paupérisation de plus en plus alarmante), et au niveau écologique (1ère ville pour les îlots de chaleur). Constat qui a fait se réunir des forces vives grenobloises de tous horizons, sans étiquette politique.
La trajectoire de la ville : sans réel plan d’économies / mutualisations avec la métropole, il faut prévoir une nouvelle hausse d’impôts après les élections municipales. C’est le premier chantier de l’après Piolle/Ferrari.
… UN COLLECTIF SOLIDE
Des forces vives qui transcendent donc véritablement les clivages, avec des personnalités venues de gauche comme de droite, qui s’engagent pour tourner la page Piolle et changer les choses. Par sa composition, le collectif, animé et présenté par Clément Chappet (président d’union de quartier, chargé de communication) apparait clairement comme le plus étoffé, ancré dans la ville, représentatif des Grenoblois et le plus préparé à relever les défis de Grenoble.
PRÊT POUR LE DÉFI SÉCURITAIRE
Pour chaque sujet, « Réconcilier Grenoble » est en capacité d’apporter des solutions solides grâce à l’expérience et la compétence de ses membres, reconnus et expérimentés. C’est le cas du défi sécuritaire, avec le travail de deux « supers flics » grenoblois, Guillaume Josserand, Ex chef d’État Major de la Police Nationale à Grenoble, Commandant honoraire de la police Nationale, et de Jean-Claude Borel-Garin, Ex Directeur départemental de la Police Nationale de l’Isère, Ex patron du RAID, Contrôleur Général honoraire de la Police Nationale, qui permettra une réponse immédiate et musclée dès l’élection.
DE NOMBREUX COMMERÇANTS, ARTISANS, PROFESSIONS LIBÉRALES
L’engagement de nombreux acteurs du monde économique, commerçants, artisans, professions libérales est également le gage d’une équipe qui fera renouer Grenoble avec la vitalité et l’attractivité qui lui font tant défaut, pour à nouveau tirer notre ville vers le haut avec un bon niveau de commerces et de services. Le collectif compte ainsi :
- Olivier Curto, président du plus important collectif de défense des commerçants.
- Kadi Belkessam, commerçante secteur centre-ville.
- Maurice Nesta, artisan-taxi et Vice-Président du syndicat des taxis grenoblois.
- Judith Thermoz, chargée de clientèle.
- Mehmet Unaldi, commerçant secteur Jean Jaurès.
- Chantal Pillet, avocat honoraire.
- Jean-Luc Rizzi, consultant en immobilier commercial et administrateur d’union de quartier.
- Charah Bentaleb, architecte urbaniste.
- Olivier Corneloup, responsable d’une enseigne alimentaire bio pour l’Isère.
- Aurélie Carnel, habitante du quartier des antiquaires.
- Harout Agobian, chef d’entreprise.
Manifestation des habitants et commerçants contre les projets imposés par la municipalité cette semaine. Les demandes et propositions alternatives de ces unions de quartier et collectifs sont prises en compte par « Réconcilier Grenoble ».
LA SOLIDARITÉ POUR ENRAYER LA CRISE SOCIALE
Autre thématique très forte incarnée par ce collectif, celle de la solidarité, pour répondre à la crise sociale qui touche notre ville et stopper la ghettoïsation qui touche de nombreux quartiers. Ce qui jette un véritable pavé dans la mare car elle a donné lieu au ralliement de plusieurs personnalités grenobloises identifiées à gauche. À l’image de Pierre Pavy, restaurateur bien connu et militant de la solidarité à l’origine de nombreuses initiatives à Grenoble. Ou d’Anouchka Michard, travailleuse sociale au CHU, ex soignante en EHPAD, qui porte un ambitieux projet de refonte des centres sociaux et des MDH afin qu’ils deviennent intergénérationnels et pluridisciplinaire. Mais aussi de :
- Laetitia Gobinet, ex directrice d’un accueil de jour pour les sans-abris et très engagée sur les questions de précarité.
- Maryam Courosse, directrice de Maison d’Accueil Spécialisée et ex Directrice d’EHPAD
- Corinne Chilliard, secrétaire médico-sociale.
- Virginie Guirado, cadre universitaire et très engagée sur les questions de handicap.
- Fati Benhamou, encadrante dans une structure d’insertion par l’activité économique.
SANTÉ : METTRE FIN À LA PÉNURIE GRENOBLOISE
Il faut aussi noter la présence du professeur Jean-Yves Cahn, hématologiste et professeur honoraire de médecine qui a exercé de nombreuses fonctions au CHU et au niveau national, avec une équipe d’intervenants dans la santé qui travaillent pour que sitôt élue l’équipe puisse inverser la vapeur de la pénurie de médecins et du problèmes d’accès aux soins à Grenoble.
LE COLLECTIF LE PLUS PROCHE DES GRENOBLOIS
Autre différence avec certaines initiatives tout à fait nébuleuses et éthérées, l’enracinement profond du collectif à Grenoble, avec plusieurs présidents et cadres d’unions de quartier présents, gage de propositions qui correspondent aux attentes des Grenoblois, de la « ville profonde » :
- Carole Ruiz, présidente d’union de quartier.
- Jean-Noël Pusel, président d’union de quartier, ingénieur thermicien.
- Elyane Rual, présidente d’union de quartier.
- Pierre Moreno, président d’union de quartier.
- Rdija Sahiri, militante des quartiers populaires, très impliquée notamment sur la question du logement social.
- Jean-Luc Rizzi, administrateur d’union de quartier
- Clément Chappet, président d’union de quartier, coordinateur du collectif.
LA SEULE ÉQUIPE À S’ATTAQUER À LA QUESTION FINANCIÈRE
Autre différence fondamentale avec certains vendeurs d’illusions : le sujet financier érigé en priorité, car par de projet si on ne s’attaque pas à comment les financer. « Réconcilier Grenoble » peut compter pour cela sur l’expertise et l’expérience de Stéphane Robin, directeur d’établissement scolaire qui a déjà exercé plusieurs fonctions d’élus, de Laurent Lequin-Souchon, cadre dans les assurances également élu local depuis plusieurs mandats, de Pierre Moreno, cadre bancaire.
Reportage de TéléGrenoble sur le lancement du collectif « Réconcilier Grenoble ».
Et bien sûr, on retrouve avec le collectif le porte-parole de la société civile, Maitre Thierry Aldeguer, avocat au barreau de Grenoble, présent sur tous les fronts juridiques qui est parvenu à faire reculer la ville et la métropole pour de nombreux dossiers, et très actif médiatiquement.
L’APPEL À LA CANDIDATURE D’ALAIN CARIGNON
Pour mener cette équipe aux élections, les membres du collectif sont extrêmement clairs. Ils appellent à la candidature d’Alain Carignon : « quelqu’un qui, par son travail depuis 5 ans, a renforcé sa stature de leader de l’opposition que les Grenoblois lui ont déjà reconnu en 2020. Quelqu’un dont toutes les alertes sur l’état de la ville se sont malheureusement réalisées, sur les impôts, la sécurité, la paupérisation… Et quelqu’un dont l’expérience et la capacité à être opérationnel immédiatement ne sont contestés par personne » a expliqué Clément Chappet.
Le coordinateur du collectif Clément Chappet aux côtés d’Alain Carignon.
L’EXPÉRIENCE POUR RÉPONDRE IMMÉDIATEMENT AUX CRISES GRENOBLOISES
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : faire face immédiatement aux crises que Grenoble doit affronter. Pas disserter sur Grenoble en 2040, mais répondre concrètement dès mars 2026 aux problèmes des Grenoblois. Il faut pour cela quelqu’un qui en a la capacité. Alain Carignon, parce qu’il n’a pas d’avenir personnel à préparer, saura prendre les décisions courageuses qui s’imposent et emmener avec lui une nouvelle génération de forces vives, prêtes à assumer des responsabilités pour la ville.
En temps de forte crise, l’expérience n’est pas un luxe mais une valeur refuge, comme le montrent les retours de Lula (79 ans) au Brésil, de Bayrou (73 ans) en France ou même de Trump (78 ans) aux Etats-Unis, qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas.
UNE ENTENTE RÉPUBLICAINE POUR GRENOBLE
Loin des combines d’appareils, loin des aventures individuelles, la potentielle candidature à venir d’Alain Carignon vient donc de creuser l’écart de manière spectaculaire en démontrant clairement qu’elle reposera sur l’équipe la plus solide, la plus diverse, le projet le plus ambitieux, l’ancrage le plus fort. L’alliance du renouveau et de l’expérience, dans le respect des convictions et du parcours de chacun, au service des Grenoblois.
En face, l’équipe sortante comptable du bilan d’Eric Piolle menée par Laurence Ruffin s’organise, avec le Parti Socialiste mené par Amandine Germain qui trahit ses électeurs en penchant déjà vers elle. La division n’est donc pas une option, et les diviseurs trahiraient les Grenoblois qui aspirent à enfin tourner la page de ces deux mandats.
Le devoir de tous ceux qui souhaitent le changement est désormais de s’associer à cette entente républicaine pour sauver Grenoble. « Réconcilier Grenoble » et Alain Carignon portent cet espoir.