« Tous les jours, il y a quelque chose de nouveau qui est massacré, se désole un locataire en faisant le tour d’une lourde jardinière fracassée de toutes parts. Hier, elle était intacte. » Sans doute vandalisée dans la nuit de lundi à mardi dernier, la jardinière en béton envahie d’herbes folles, s’écroule lentement dans la cour qui sépare l’église Saint-Maurice du presbytère. Deux lieux inoccupés depuis plusieurs années qui, depuis peu, subissent régulièrement des assauts. Ici des tags, là les stigmates d’une tentative d’effraction sur la porte du local technique.