Un poisson uranoscope (autrement appelé « bœuf » de Méditerranée ou « rascasse blanche »), photographié à Nice, dans la baie des Anges, à 20 mètres de profondeur, et exposé au Musée de la Photographie Charles Nègre. LAURENT BALLESTA
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Une vague bleue submerge les musées et les centres d’art de la cité méditerranéenne. Avant la troisième Conférence des Nations unies pour l’Océan, du 9 au 13 juin, les plasticiens éveillent les sensibilités et mobilisent les imaginaires.
Pour aller plus loin
Une gigantesque pieuvre surgit de la pelouse de la promenade du Paillon, en plein cœur de Nice. Débarqué depuis New York, le céphalopode en bronze déconcerte les passants et séduit les enfants (et les chiens) qui gambadent entre ses tentacules. L’étrange poulpe de la plasticienne Laure Prouvost, l’une des six installations artistiques déployées dans la ville à l’occasion de la Biennale des Arts, incite avec fantaisie les humains à prêter plus attention aux mondes sous-marins. « Landed here to Sea you », clame la bête.
Après les « Fleurs », en 2022, la manifestation plonge en 2025 en eaux profondes. Le thème, « La Mer autour de nous », n’est pas seulement dicté par la position géographique de la capitale du département des Alpes-Maritimes. Nice accueille du 9 au 13 juin la troisième Conférence des Nations unies pour l’Océan (Unoc-3), coorganisée par la France et le Costa Rica. Ce sommet international vise à mettre en place un plan d’action pour préserver un él…
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