Éliminé en quart de finale du Masters 1000 de Rome, par un excellent Lorenzo Musetti (7−6, 6–4), Alexander Zverev n’a pas connu la prépa­ra­tion espérée pour Roland‐Garros. 

Pour peau­finer les derniers détails avant le Grand Chelem fran­ci­lien, le numéro deux mondial a choisi de s’ali­gner sur l’ATP 500 d’Hambourg, dont il sera la première tête de série, après la cascade de forfaits, dont celle de Jannik Sinner.

Interrogé en confé­rence de presse sur ses confron­ta­tions avec Carlos Alcaraz et le numéro un mondial, il estime avoir le jeu pour riva­liser, à son meilleur niveau.

« Avec Carlos, nous avons toujours eu de grandes batailles. Parfois il gagne, parfois je gagne. L’année dernière, à Paris, c’est malheu­reu­se­ment lui qui a gagné. En Australie, j’ai gagné. C’est donc souvent un peu un va‐et‐vient. Mais lorsque j’entre sur le court contre eux, c’est géné­ra­le­ment en demi‐finale ou en finale, parce que nous sommes numéro 1, 2 et 3 dans le monde. À ce stade du tournoi, j’ai donc toujours l’im­pres­sion de jouer un bon tennis. Pour moi, c’est parfois plus compliqué dans les premiers tours. Quand je ne suis pas au mieux de ma forme, ce sont les tours où j’ai le plus de mal. Mais quand je joue à mon meilleur niveau, je sens que je peux riva­liser avec n’im­porte qui… », a commenté le triple fina­liste en Grand Chelem, dans des propos relayés par Ubitennis.