C‘est à ce même étage que dormaient ces jeunes, essentiellement des hommes venus d’Afrique subsaharienne, dans des conditions d’hygiène déplorables, avant leur évacuation manu militari le 18 mars. Entre-temps, les équipes de la Gaîté, à bout, qui sécurisaient comme elles le pouvaient le lieu jusqu’alors, avaient rendu les clés à la Ville, qui en est propriétaire. Deux mois après cette évacuation, les salariés, prestataires et intermittents ont enfin pu y rentrer à nouveau.