Cagoulé pour ne pas être reconnaissable sur les vidéos postées sur les réseaux sociaux, le « starter » est posté entre deux voitures côte à côte. Chargé de donner le départ, il lève les bras, comme dans les scènes de course des films américains « Fast and Furious ». Puis il hurle : « 3, 2, 1, C’est parti ! » Et les deux moteurs survitaminés vrombissent.

Les roues patinent un peu parfois car certains concurrents allègent au maximum leurs voitures devenues trop puissantes pour une route humide de nuit. La foule, postée sur plus de 300 m de trottoir, crie sa joie à chaque départ. Beaucoup ont fait leurs pronostics.