Le lâcher prise, le rejet de l’autorité, la confiance en son instinct… Les acteurs de la comédie policière à succès de TF1 se confient sur ce qu’ils ont appris de leur personnage…
Il est d’excellentes habitudes auxquelles on ne voudrait déroger pour rien au monde ! Audrey Fleurot et l’équipe d’HPI, la comédie policière à succès de TF1 tournée dans les Hauts-de-France, ont assuré la promotion de la nouvelle saison – la 5e et dernière qui a débuté le 15 mai sur TF1 – au festival Séries Mania à Lille où l’accueil a été triomphal. Les comédiens en ont profité pour rencontrer la presse. Et pour répondre à la question : que vous restera-t-il de votre personnage après la fin de la série ?
Bérangère McNeese : «Je suis contente de voir Daphné, qui a commencé extrêmement disciplinée et procédurière, en a de moins en moins à foutre de l’autorité : c’est assez inspirant ! Elle décide même cette saison de suivre son intuition….»
Mehdi Nebbou : «HPI via le personnage de Morgane m’aura vraiment appris le lâcher prise. Ne pas toujours trop se préparer, ne pas être psychorigide, même si ça peut me rendre service dans mon boulot parfois. Il y a une part de préparation et une part qu’on ne peut contrôler, c’est plutôt cool.»
Audrey Fleurot : « Il y a un avant et un après assez fondamental dans ma vie et dans ma carrière. Je pense que je dois énormément à Morgane, qui me doit aussi beaucoup. HPI m’a permis de faire confiance à mon instinct. Ça peut prendre beaucoup de temps mais il faut aussi avoir la possibilité de le tester. Et c’est la première fois que j’ai eu cette opportunité. Au-delà du professionnel, de moi à moi, c’est une série et un personnage qui m’ont apporté une conscience que je n’avais pas. »
Marie Denarnaud : « Il y a des gens qui ont compris que je pouvais être drôle, et ça m’a fait plaisir. Même si ça ne s’est pas encore vraiment concrétisé par des propositions ! Mais quand on réussit à faire rire Audrey Fleurot et Bruno Sanches, même si c’est grâce aux dialogues des auteurs, c’est hyperagréable pour une actrice plutôt habituée à la tragédie ou au militantisme dans la gadoue ! Il s’agit par ailleurs d’un personnage très différent de ce qu’on m’avait proposé dans ma vie, car c’est également un personnage d’autorité. Et Céline a quelque chose de maternant à plein d’endroits. »
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