CRITIQUE GASTRONOMIQUE – Retrouvons ce drôle de groupe des Bistrots Pas Parisiens qui réussit à sortir, une fois l’an, une table qui surprend la grande ville en même temps qu’elle affole la « middle class » périphérique.

Comme Amélie Nothomb qui, à chaque rentrée littéraire, de Saint-Germain en Club du livre, balance son best-seller attendu, retrouvons ce drôle de groupe des Bistrots Pas Parisiens qui, depuis dix ans et une fois l’an, réussit à sortir une table qui surprend la grande ville en même temps qu’elle affole la « middle class » périphérique. À celui-là, accordons un certain succès au Splash des bords de Seine d’Asnières, un vrai rush chez Micheline, ancienne gare de banlieue mutée en chouette brasserie du côté de Sèvres et cette communauté d’appétit où la petite couronne accourt au Papa Pool de Clamart, au Tata Yoyo de La Garenne-Colombes, au Coco Rocco de Puteaux.

À chaque fois, la même enseigne pouet-pouet en confort Hauts-de-Seine, le même principe de décor poussé comme au Disney de Marne-la-Vallée et une carte crypto-gastro signée d’un « Top Chef » made in M6. Ce printemps, à l’appel de Monsieur Claude, nouvel épisode à ce Rueil toujours très Malmaison.

Sur orbite

Tant qu’à ici, une fois encore…

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Le Figaro

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