« Je ne comprends rien. La signalisation est mal faite », se plaint Édouard qui pensait pouvoir tourner à droite pour rejoindre l’autoroute. La bretelle d’entrée de l’échangeur Nice Ouest (n° 50) en provenance du boulevard du Mercantour – depuis la promenade des Anglais – est définitivement fermée depuis ce mardi.
Sauf que cet automobiliste peut toujours tourner à droite avant le carrefour pour emprunter l’avenue Valéry-Giscard-d’Estaing (ex-route de Grenoble).
Trente mètres plus loin, une fois engagé sur l’avenue, il tombe sur une interdiction de tourner à droite et la présence d’un policier municipal. Il ne peut donc rejoindre la bretelle d’accès à l’autoroute et se voit forcer de s’enfoncer dans les bouchons de l’avenue en travaux.
Des dizaines d’automobilistes ne respectent pas l’interdiction
Contrairement à Édouard, avant l’arrivée de la police municipale et sûrement après, ils sont des dizaines d’automobilistes à ne pas respecter l’interdiction. Et contrecarrent les plans bien ficelés de la Métropole dans son schéma de circulation.
La pagaille aidant, la police municipale a dû placer l’une de ses voitures dans la file pour tourner à droite boulevard du Mercantour et empêcher ainsi les automobilistes de se rendre avenue Valéry-Giscard-d’Estaing (ex-route de Grenoble).
« Je dois me rendre chez Peugeot, pourquoi vous ne me laissez pas passer », s’interroge un automobiliste qui maugrée.
« C’est complètement stupide, on nous renvoie tous dans un énorme bouchon », râle Marie qui redoute la traversée du carrefour sous l’autopont du palais Nikaïa.
« Christian Estrosi devrait conduire dans Nice pour se rendre compte de la situation au lieu de se faire conduire par son chauffeur », s’emporte Jessica. Ce n’est pas le seul à en prendre pour son grade. « Gaël Nofri se pavane aux endroits où il n’y a pas de problèmes. On ne le voit pas aux heures de pointe pour constater que son plan ne fonctionne pas », pointe Eric.
« Après les vacances, ce sera le chaos »
Un peu plus loin, à l’intersection de la traverse de la Digue-des-Français et du boulevard du Mercantour – qui permet de rejoindre l’autoroute A8 par l’échangeur Nice Aéroport (n° 51) au niveau du CADAM, les bouchons s’allongent.
Mais rien d’insurmontable en période de vacances scolaires. « Vous croyez qu’après les vacances ce sera comment? s’interroge Marina. Ce sera le chaos. »
Photo Cyril Dodergny.
« Je ne comprends rien. La signalisation est mal faite », se plaint Édouard qui pensait pouvoir tourner à droite pour rejoindre l’autoroute. La bretelle d’entrée de l’échangeur Nice Ouest (n° 50) en provenance du boulevard du Mercantour – depuis la promenade des Anglais – depuis mardi 8 avril 2025.
Sauf que cet automobiliste peut toujours tourner à droite avant le carrefour pour emprunter l’avenue Valéry-Giscard-d’Estaing (ex-route de Grenoble). Trente mètres plus loin, une fois engagé sur l’avenue, il tombe sur une interdiction de tourner à droite et la présence d’un policier municipal. Il ne peut donc rejoindre la bretelle d’accès à l’autoroute et se voit forcer de s’enfoncer dans les bouchons de l’avenue en travaux.
Des dizaines d’automobilistes ne respectent pas l’interdiction
Contrairement à Édouard, avant l’arrivée de la police municipale et sûrement après, ils sont des dizaines d’automobilistes à ne pas respecter l’interdiction. Et contrecarrent les plans bien ficelés de la Métropole dans son schéma de circulation.
La pagaille aidant, la police municipale a dû placer l’une de ses voitures dans la file pour tourner à droite boulevard du Mercantour et empêcher ainsi les automobilistes de se rendre avenue Valéry-Giscard-d’Estaing (ex-route de Grenoble). « Je dois me rendre chez Peugeot, pourquoi vous ne me laissez pas passer », s’interroge un automobiliste qui maugrée. « C’est complètement stupide, on nous renvoie tous dans un énorme bouchon », râle Marie qui redoute la traversée du carrefour sous l’autopont du palais Nikaïa.
« Christian Estrosi devrait conduire dans Nice pour se rendre compte de la situation au lieu de se faire conduire par son chauffeur », s’emporte Jessica. Ce n’est pas le seul à en prendre pour son grade. « Gaël Nofri se pavane aux endroits où il n’y a pas de problèmes. On ne le voit pas aux heures de pointe pour constater que son plan ne fonctionne pas », pointe Eric.
« Après les vacances, ce sera le chaos »
Un peu plus loin, à l’intersection de la traverse de la Digue-des-Français et du boulevard du Mercantour – qui permet de rejoindre l’autoroute A8 par l’échangeur Nice Aéroport (n° 51) au niveau du CADAM, les bouchons s’allongent.
Mais rien d’insurmontable en période de vacances scolaires.
« Vous croyez qu’après les vacances ce sera comment? s’interroge Marina. Ce sera le chaos. »
Photo Cyril Dodergny.