Alexander Zverev a eu presque la peur de sa vie. L’avion parti d’Hambourg qui devait l’amener à Paris en compa­gnie de Nakashima et Lehecka a été carré­ment frappé par le foudre et a du atterrir d’ur­gence. Une péri­pétie que le joueur alle­mand a pris avec philosophie.

« Mon voyage était très drôle parce que nous devions voler hier soir à 18 h 45. On décol­lait de Hambourg. On voya­geait avec Lehecka, Nakashima, des joueurs de double et on a été frappés par la foudre. On a donc dû atterrir en urgence à Hambourg. On ne trou­vait pas d’autre vol. Il a donc fallu voler le lende­main matin. Moi j’ai pris un autre vol, j’ai décollé à 1 h 00 du matin, je suis arrivé ici à 3 h 00 du matin. C’était la première fois de ma vie que j’étais frappé par la foudre.
En fait, il y a eu juste un peu de bruit, il n’y a pas vrai­ment eu de turbu­lences. Ça c’est mon voyage pour venir jusqu’ici. C’est la petite anec­dote de Roland‐Garros pour cette édition.