Sébastien Perrin (co-entraîneur du DFCO)  : « C’est cruel… Le foot a été cruel pour nous aujourd’hui, mais si c’est cruel, c’est parce qu’on a eu de l’espoir même si on a été mené 2-0. Il y a donc aussi un sentiment de fierté d’avoir pu rivaliser, d’être revenu au score en fin de mi-temps dans un moment important. La seconde période a été plus aboutie, mais ça reste un match nul sur cette seconde période, il aurait fallu la gagner pour aller chercher les tirs au but. Je suis quand même fier de ce qu’on a pu faire. »

Mario Savarino (co-entraîneur du DFCO)  : « On savait qu’on était en capacité de répondre à l’adversité. On a montré qu’on était capable de rien lâcher. Cette épreuve est formatrice pour nos jeunes et même pour nous les coaches. Il va falloir avancer et s’en servir. Les défaites d’aujourd’hui doivent se transformer en victoires d’après. C’est un apprentissage. La formation c’est fait de réussite, on l’avait eu jusque là, mais on échoue au dernier moment. Cela doit leur servir pour leur carrière, c’est comme ça qu’on construit les joueurs et les hommes, par des échecs.»



Maxence Gazon. Photo Vincent Poyer

Maxence Gazon : « C’est assez cruel »

« C’est assez cruel, on revient après avoir été mené 2-0. On peut être fier de nous, on a montré du caractère et les valeurs du club. Ce n’est pas un petit stade et ça a forcément joué mentalement. Pour moi, c’était magnifique de faire partie de ce club et d’avoir ce record. Le DFCO est mon club de cœur et je suis très heureux que l’on ait réalisé ça. J’espère que l’on ira plus loin. »