Capture d’écran Youtube / With love, Meghan, Trailer Netflix
« C’est si rare, et si effrayant », a expliqué Meghan Markle à propos de sa pré-éclampsie post-partum.
GROSSESSE – Une « frayeur médicale énorme. » Dans le premier épisode de son podcast Confessions of a female founder (« Confessions d’une fondatrice féminine », en français), l’ancienne actrice et désormais duchesse de Sussex Meghan Markle a fait part de sa peur face à au syndrome auquel elle a été confrontée après un de ses accouchements.
En conversation avec son invitée Whitney Wolfe Herd, créatrice de l’application de rencontres Bumble, les deux entrepreneuses ont abordé la question de l’équilibre entre vie parentale et vie professionnelle. L’occasion, pour Meghan Markle, de revenir sur un problème de santé rare, auquel les deux entrepreneuses ont été confrontées : la prééclampsie post-partum, dont les symptômes sont entre autres une pression artérielle élevée et un excès de protéines dans l’urine peu après avoir donné naissance.
En effet, ce syndrome qui touche environ 5 % des grossesses peut apparaître après 20 semaines d’aménorrhée, mais aussi jusqu’à six semaines après l’accouchement.
« Une question de vie ou de mort »
« Nous ne nous connaissions pas encore à l’époque, mais nous avons toutes les deux eu des expériences similaires avec la prééclampsie post-partum », dévoile Meghan Markle dans le podcast, sans préciser si elle a été touchée au moment de la naissance de son fils, aujourd’hui âgé de 5 ans, ou de sa fille de trois ans.
« C’est si rare, et si effrayant. Et vous devez continuer à jongler avec tout le reste, et le reste du monde ne sait pas ce qui se passe en coulisses. En coulisses, vous continuez à essayer d’être là pour les autres – principalement pour vos enfants – mais ces choses sont des frayeurs médicales énormes », a poursuivi l’ancienne star de la série Suits. « Une question de vie ou de mort, véritablement », a abondé son invitée.
Due à un dysfonctionnement du placenta, la prééclampsie doit être diagnostiquée rapidement et traitée en urgence. D’après le site de l’Assurance Maladie, dans la plupart des cas, « les patientes accouchent d’un bébé en bonne santé et se rétablissent rapidement ». Mais dans les cas où le syndrome n’est pas surveillé et traité, il peut entraîner des complications graves : « complications maternelles, retard de croissance intra-utérin, naissance prématurée voire décès de la mère et/ou de l’enfant », énumère le site de référence.
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