Le maître de midi invaincu depuis plus d’un an et demi était l’invité d’Audrey Crespo-Mara dans le portrait de la semaine de «Sept à huit». L’occasion pour lui d’aborder l’avenir mais également sa nouvelle situation financière.
Le recordman de TF1. Émilien s’est imposé, depuis le 25 septembre 2023, en tant que champion du jeu «les 12 coups de midi» présenté par Jean-Luc Reichmann sur TF1. Au vu d’un tel phénomène, Audrey Crespo-Mara lui a consacré le portrait de la semaine de «Sept à huit» ce dimanche 25 mai.
Et cette success-story aurait bien pu ne jamais voir le jour. C’est seulement après une deuxième inscription – la première tentative au lendemain de sa majorité est restée infructueuse – qu’Émilien a atteint le plateau du jeu de la Une.
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Avec une cagnotte s’élevant à plus de deux millions d’euros (cadeaux et gains cumulés) et en étant invaincu depuis plus d’un an et demi, le jeune homme de 22 ans est devenu le plus grand gagnant de toute l’histoire des jeux télévisés en France. «Le fait d’atteindre des paliers comme ça, des sommes qui sont aussi énormes, vraiment ça me dépasse dans la conception même de ce que c’est», a-t-il confié à la journaliste.
«120.000 euros nets d’impôt»
«Avec ces gains astronomiques, c’est comme si vous gagniez combien par mois ?», a questionné, curieuse, Audrey Crespo-Mara. Bien loin d’être langue de bois, Émilien a révélé le montant calculé. «Je crois qu’en moyenne, ça doit faire presque 120.000 euros par mois nets d’impôt. Ce qui est complètement démesuré, vraiment c’est très compliqué de se rendre compte. C’est loin de tout», a souligné Émilien, et d’autant plus qu’un salaire de professeur d’histoire, profession à laquelle il se destinait avant son entrée dans le jeu. «En un an et demi de jeu télé, vous avez gagné plus que votre mère en toute une vie d’aide soignante», a pointé du doigt l’intervieweuse. «C’est très particulier comme sensation. J’essaye d’être conscient de cette chance pour en profiter au maximum ou d’en faire bon usage», a déclaré le jeune homme.
Particulièrement philosophe, il a également continuellement à l’esprit l’instabilité de sa situation. «J’ai peur de la fin oui et non. Dans le sens où effectivement je fais tout pour éviter que le moment fatal arrive mais il arrivera un moment où je perdrais simplement. Et puis le jour où je perdrai, il faudra l’accueillir et juste se souvenir des bons moments passés. Je ne m’attendais absolument pas à rester autant de temps, c’est vraiment une surprise totale.»
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