Dans son podcast Confessions d’une femme entrepreneure, Meghan Markle s’est confiée sur sa vie depuis qu’elle est devenue femme d’affaires. Un statut qu’elle considère à la fois comme «libérateur» et «solitaire».
Meghan Markle regretterait-elle sa vie rangée d’actrice ? Depuis son arrivée aux États-Unis en 2020 et plus particulièrement depuis le début de l’année 2025, ses affaires se multiplient. Contrat avec Netflix pour sa série With Love, Meghan, lancement de son podcast Confessions d’une femme entrepreneure, débuts (laborieux) de sa marque de lifestyle, As Ever… La duchesse de Sussex est sur tous les fronts.
Mais dans le dernier épisode de son podcast, paru ce mardi 27 mai, l’épouse du prince Harry s’est confiée en toute transparence sur les difficultés qu’elle peut rencontrer au quotidien en tant que cheffe d’entreprise. «Quand vous n’avez que vous-même à qui rendre des comptes, je pense que c’est en fait double», a-t-elle révélé à son invitée, la femme d’affaires américaine Sarah Blakely. «Ce statut peut être incroyablement libérateur, comme il peut être incroyablement solitaire.»
«Ne demandez l’avis de personne»
Meghan Markle a également abordé, de façon subtile, le fait d’avoir changé le nom de sa marque de lifestyle à la dernière minute, passant d’American Riviera Orchard à As Ever. Elle a notamment comparé le lancement d’une marque à un questionnaire de satisfaction, en raison de la pression d’obtenir «l’approbation de tout le monde».
Elle l’a même comparé au moment où les futurs parents choisissent un prénom pour leur enfant. «Ce n’est pas différent. Je le dirai à toutes les femmes du monde ou à toutes les personnes dans le monde qui vont avoir un enfant : si vous avez une idée sur le nom que vous allez donner à ce bébé, vous le gardez si près de votre cœur, jusqu’à ce que ce bébé naisse et qu’il soit nommé. Ne demandez l’avis de personne», a-t-elle poursuivi. Meghan Markle avait déjà vaguement abordé le sujet dans un épisode du mois d’avril, parlant de «salade de mots». «J’apprécie tous ceux qui m’ont donné la grâce de faire des erreurs et de m’en rendre compte, et aussi d’être indulgente envers moi-même à travers cela», avait-elle ajouté à l’époque.