Rappelons qu’une Smart, avec deux occupantes d’une vingtaine d’années à son bord, avait terminé sa course sur le toit.
Selon la justice, la conductrice était en état d’alcoolémie, sous stupéfiants, n’avait pas de permis de conduire, ni d’assurance pour le véhicule. Mais l’affaire avait pris un autre tour quand le parquet de Nice avait rajouté « enlèvement et séquestration » à l’enquête.
Ce volet a fait flop. Au final, selon le parquet de Nice, les éléments recueillis « ne permettent pas d’établir les faits dénoncés par la passagère du véhicule accidenté ».
La conductrice « susceptible d’être de nouveau placée en garde à vue »
S’agissant des délits routiers, les investigations, confiées à la Brigade des accidents et des délits routiers (BADR)
de Nice, se poursuivent « aux fins notamment d’examens médicaux, de recueil de témoignages et de détermination des circonstances exactes de l’accident ».
La conductrice mise en cause, remise en liberté, « sera susceptible d’être de nouveau placée en garde à vue à l’issue de ces investigations en vue des poursuites ».