Publié le 28 mai 2025 à 08:44. / Modifié le 29 mai 2025 à 08:55.
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C’est ce qu’on appelle un retournement de fond. Après des mois de critiques plus que modérées envers l’action militaire israélienne à Gaza, les autorités allemandes viennent de hausser le ton comme jamais depuis un an et demi. Lundi 26 mai, le nouveau chancelier, Friedrich Merz, a affirmé ne «plus comprendre quel est l’objectif de prendre la population civile pour cible». «Cela ne peut plus être justifié par la lutte contre le terrorisme du Hamas», a-t-il ajouté.
«Plus que n’importe quel autre pays au monde, l’Allemagne doit se retenir de donner des conseils publics à Israël. Cependant, lorsque des limites sont franchies et que le droit international humanitaire est réellement violé, l’Allemagne et son chancelier doivent s’exprimer […]. Le gouvernement israélien ne doit rien faire qui puisse pousser ses meilleurs amis à ne plus accepter ses actions», a-t-il commenté. Une position qu’il a réitérée ce mardi lors d’une conférence de presse en Finlande.
L’histoire ne s’arrête pas là.
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