Gala Rizzatto au Parc des Princes le 10 août dernier avant la finale du tournoi olympique féminin entre le Brésil et les États-Unis.   - Credit:Oscar J Barroso/AFP7/Shutterstoc/SIPA

Gala Rizzatto au Parc des Princes le 10 août dernier avant la finale du tournoi olympique féminin entre le Brésil et les États-Unis. – Credit:Oscar J Barroso/AFP7/Shutterstoc/SIPA

Son tube est chanté dans tous les stades et pourtant elle n’a pas un sou vaillant… La chanteuse Gala, 49 ans, célèbre pour son tube « Freed from Desire », repris en chœur par les fans de foot aussi bien que par la communauté LGBT, n’a jamais touché l’intégralité des royalties qui lui revenaient de droit comme compositrice et interprète. La faute à un mauvais contrat vite signé dans les années 1990, qui l’a empêchée de toucher le jackpot sur les 6 millions de disques écoulés à date…

« Je n’ai pas de quoi m’acheter un appartement, explique-t-elle à Paris Match, qui lui consacre un long portrait. Je vis comme une nomade. Ces six dernières semaines, j’ai changé quatre fois d’adresse ! » Selon le magazine, elle vit à Brooklyn, « sans le sou », logeant chez des amis ou dans des chambres d’hôtel qu’elle loue au dernier moment…

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Rien ne prédestinait l’italienne Gala Rizzatto à réussir dans la chanson. Au début des années 1990, elle suit des études de cinéma, puis de photographie à la New York University, se passionne pour la danse et croise un jour la route d’un DJ italien, qui lui fait rencontrer le producteur milanais Max Moroldo. Elle sort un premier single, obtient un joli succès, jusqu’au jour où elle compose « Freed from Desire » en une nuit, à New York, une chanson qu’elle définit dans Paris Match comme une ode à la liberté et à la joie : « Je me suis toujours dit : “Si tu ne suis pas ta passion, tu es mor […] Lire la suite